1. La prof de maths


    Datte: 27/02/2020, Catégories: h, fh, fplusag, jeunes, profélève, gros(ses), grosseins, groscul, école, fdomine, revede, Masturbation Auteur: Fil Iforme, Source: Revebebe

    ... claire. J’ai relevé la tête et, en croisant son regard, j’ai perçu un regard amusé. Elle était en train de jouer avec moi comme un chat avec une souris, mais l’impression n’était pas désagréable. Simplement, c’était elle qui menait la danse et elle la menait de main de maître…
    
    — Jeudi après-midi, je termine les cours à 15h et cette semaine, j’ai l’intention de me rendre au Musée d’Histoire Naturelle. Ça pourrait être instructif ! Qui plus est, j’ai mes entrées dans certaines salles interdites au public…
    
    Mais quelle salope ! Je n’en croyais pas mes oreilles. La voilà qui était en train de me fixer un rencard, le plus naturellement du monde.
    
    — D’ici là, tâchez de me regarder plus discrètement que vous ne le faites d’ordinaire… Et que je n’aie pas à vous le redire.
    
    Comme je cherchais toujours quelque chose à répondre à tout ça :
    
    — La conversation est terminée, jeune homme, vous pouvez prendre congé, ajouta-t-elle d’une voix cassante, d’un ton qui ne tolérait aucune remarque.
    
    Je sortis de la salle avec un « bonne journée » peu convaincant.
    
    Pas une seule fois je n’avais bandé pendant ce court entretien. Je m’étais senti dominé, asservi, petite chose sous la coupelle de cette maîtresse femme. Néanmoins je n’avais pas rêvé, elle m’avait bel et bien fixé un rencard au Musée, de façon plus qu’inespérée.
    
    Qu’allions-nous faire au musée ? Comment cela allait-il se passer ? J’avais beaucoup de mal à l’imaginer. Des images de mes précédents exploits me ramenèrent à ...
    ... la réalité : une bite qui ne veut pas durcir, une éjaculation sitôt rentré, des filles qui me réconfortent avec des « ce n’est pas grave », des « ça peut arriver à tout le monde », mais qui, par la suite, ne voudront plus jamais réessayer. Et si c’était pareil avec elle, je m’en sortirais encore plus amoindri. J’avais l’intime conviction qu’avec son air sévère, je n’aurais droit à aucun cadeau.
    
    Mme Barreau… Mais comment s’appelait-elle au juste ? Léonore ? Eléonore ? Je sais qu’entre eux, et en l’absence de son mari, certains profs l’appelaient « la teutonne ». Des élèves, plus méchants, préféraient « la nazie ». Mais il est probable qu’elle n’avait en fait aucune origine germanique. Plus simplement, ses parents étaient originaires de Nancy, elle nous l’avait confié lors d’un cours. Et puis, il y avait aussi le fait qu’elle était blonde, bien charpentée et plutôt stricte et rigide, toute sa réputation venait de là. C’est vrai qu’on la voyait rarement sourire, sinon jamais.
    
    Deux jours à attendre avant jeudi et un seul cours de maths d’ici là. Je me tins particulièrement à carreau, osant peu de regards vers ma future maîtresse, ceci dans le but de la satisfaire, de respecter notre accord. Pour autant je n’écoutais pas plus le cours, je pensais à autre chose, en fait à ce lecteur MP3 qu’un pote m’avait vendu et qui était à chier. J’avais bien envie de le coincer quelque part pour lui casser la gueule, car il ne voulait pas me rembourser. Mais je savais pourtant que je n’en ...