1. La prof de maths


    Datte: 27/02/2020, Catégories: h, fh, fplusag, jeunes, profélève, gros(ses), grosseins, groscul, école, fdomine, revede, Masturbation Auteur: Fil Iforme, Source: Revebebe

    A cette époque, je redoublais ma terminale après avoir redoublé quelques années plus tôt ma seconde. Je n’ai jamais été doué pour les études, d’ailleurs je n’ai pas eu mon bac.
    
    Mais je n’étais pas plus doué pour l’amour. J’avais eu quelques copines, mais je n’avais jamais vraiment brillé. Je bandais mou et je jouissais trop vite. Ça me laissait un goût amer, à tel point que, dépité, j’avais même pensé pendant un certain temps à devenir pédé. J’avais été jusqu’à sucer un pote, mais sans vraiment y prendre goût. Plusieurs fois, il avait voulu recommencer, j’avais même fini par tout avaler. Mais, bof, moi ça ne m’excitait pas trop et je n’avais aucun fantasme particulier pour la plastique des mecs. C’était une expérience purement mécanique, juste pour essayer.
    
    En cours, je rêvassais, surtout en cours de maths, je n’ai jamais rien compris à ces choses-là. La prof de cette année-là était une grosse blonde aux accents teutons. Madame Barreau qu’elle s’appelait, sévère et cassante, elle ne faisait aucun cadeau au cancre que j’étais. Je me souviens surtout de ses cheveux toujours tirés en arrière, noués dans un incroyable chignon. Cela mettait en évidence sa grosse bouille et son double menton. Ses yeux gris bleus relativement ternes vous regardaient toujours avec dédain. Peu aimable, peu gracieuse, l’archétype même de la mal baisée ! D’ailleurs question baise, elle était mariée à un autre prof du lycée, un petit gringalet. Fallait voir le tableau quand on les croisait ...
    ... ensemble, dans la rue où ailleurs, elle le toisait d’une bonne tête et était aussi grosse que lui pouvait être maigrichon. Un couple atypique. C’est elle qui portait la culotte et qui tirait avec fermeté son minus de mari dans les grands magasins. Il n’avait pas son mot à dire.
    
    Je n’ai jamais eu Monsieur Barreau en tant que prof, mais ceux qui l’avaient eu racontaient qu’il était incroyablement timide et craintif. Et ses cours étaient réputés pour se terminer dans un sacré bordel.
    
    Tout ceci m’intriguait, m’intriguait d’autant plus que j’étais moi-même un gringalet, court sur pattes et squelettique, mais que je me voyais quand même mal soumis à une femme de tête.
    
    Néanmoins, cela faisait son chemin dans ma petite caboche et je me surpris bientôt en train de détailler le corps de ma prof pendant les cours : son bassin plutôt large, sa poitrine trop abondante et son ventre rebondi. Je préférais penser à ça qu’au théorème de Pythagore et à toutes ces droites infinies qui ne se recoupent jamais.
    
    Pour moi, la géométrie dans l’espace, c’était plutôt ses seins lourdauds et tombants. Etaient-ils réellement en forme de poire ? Quelle était leur asymptote ? Avaient-elles de gros tétons ? Pouvait-on mettre en équation le galbe de ses fesses. Y = ax + b, racine carrée de l’hypoténuse, mais à poil, cela donnait quoi ?
    
    À d’autres moments, je me disais que j’étais cinglé, cette femme devait bien avoir la cinquantaine et elle était mariée et pas spécialement bandante. Cinglé oui, mais ...
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