1. La prof de maths


    Datte: 27/02/2020, Catégories: h, fh, fplusag, jeunes, profélève, gros(ses), grosseins, groscul, école, fdomine, revede, Masturbation Auteur: Fil Iforme, Source: Revebebe

    ... massif qui venait vraiment du cœur.)
    — Alors, que comptez-vous faire ?
    — Faire un stage d’entreprise et puis travailler.
    — En tout cas, les maths ne vous intéressent pas, ça c’est clair, pas plus que l’économie, les langues ou le sport d’ailleurs. Mis à part en philo où, curieusement, vous avez des notes correctes, vous ne brillez dans aucune matière. Pour un redoublant je n’ai jamais vu ça et je ne vous donne guère de chance d’obtenir votre bac. Alors qu’allez-vous faire comme travail, qu’allez-vous vendre à votre futur patron, comment allez-vous le convaincre de vous employer, ?
    — Bah ! J’ai un oncle qui a une PME et ça fait deux étés que je travaille chez lui comme coursier… ai-je répondu sans me démonter.
    — Coursier, c’est cela votre seule ambition ?
    — Ben, ensuite je pourrai monter, devenir gratte-papier ou chef d’équipe…
    
    Elle resta un instant silencieuse. Elle triait ses papiers, apparemment sans faire attention à moi. L’entretien était peut-être terminé. Je décidai de me lever et de plier bagage.
    
    Mais, parvenu à la porte :
    
    — Damien, fermez cette porte et revenez vous asseoir, nous n’en avons pas terminé.
    
    J’obtempérai. Que voulait-elle dire de plus ? Me convaincre que les maths c’était mon avenir, mais c’était cause perdue !
    
    Bizarrement le fait d’avoir fermé la porte donnait à cet entretien quelque chose de plus solennel, de plus intimiste aussi, malgré la grandeur de la salle de classe.
    
    — Ce n’est pas de votre avenir que je voulais vous ...
    ... parler… quoique… je serais vous, je serais vraiment inquiète.
    
    Elle avait relevé la tête et me regardait fixement, droit dans les yeux et avec fermeté. Un frisson me parcourut le dos, je baissai les yeux, je sentais la menace.
    
    — Ce dont je veux vous parler c’est de votre attitude en classe… Vous n’arrêtez pas de me mater… et tout le monde s’en aperçoit. Et vos petits camarades n’ont pas manqué de vous tailler une sacrée réputation et à moi également, par la même occasion. Alors, j’aimerais savoir ce que vous avez à répondre à cela ?
    — Euh, rien… c’est vrai que vous me plaisez…
    
    J’avais répondu du tac au tac, sans réfléchir. Elle rendit hommage à ma spontanéité :
    
    — Au moins, vous, vous êtes honnête… Ce que je condamne, ce n’est pas cette curieuse admiration de votre part et, en tant que femme, je dois même avouer que j’en suis flattée. Non, ce que je condamne, c’est votre manque de discrétion. Vous me déshabillez du regard de la tête aux pieds au su et au vu de tout le monde !
    — Et vous n’aimez pas ça ?
    — Je n’aime pas entendre jaser aux détours des couloirs. Je n’aime pas les blagues stupides de vos comparses, pas plus que je n’aime les remarques déplacées dans la salle des profs. Voilà ce que je n’aime pas.
    — Je comprends.
    — Pour le reste, c’est privé, c’est entre nous, cela ne regarde pas les autres, que les choses soient bien claires.
    
    Le reste, quel reste, de quoi parlait-elle ?
    
    — Et je préfère que cela se passe en dehors du lycée !
    
    L’invite était très ...