La prof de maths
Datte: 27/02/2020,
Catégories:
h,
fh,
fplusag,
jeunes,
profélève,
gros(ses),
grosseins,
groscul,
école,
fdomine,
revede,
Masturbation
Auteur: Fil Iforme, Source: Revebebe
... pas plus cinglé que lorsque j’avais sucé cette bite ou lorsque j’avais envisagé de me faire enculer.
Le soir, dans ma chambrette, devant mon bureau, braguette ouverte, sexe dressé, je me tapais une petite branlette devant mon livre de maths. Elle était sévère, n’avait jamais un sourire. J’imaginais cette femme chez elle, son mari enchaîné en bas résille, en train de lui lécher les pieds. Ils avaient eu deux mouflets, preuve que de temps en temps, elle devait se faire baiser. Peut-être fréquentaient-ils des clubs échangistes ?
Une rumeur du lycée précisait qu’un élève les avait surpris, elle et son mari, dans le hall du ciné X. À cette époque là, les films pornos avaient encore un certain public. Avait-on inventé ces racontars de toute pièce pour exciter mes fantasmes ? Toujours est-il que depuis que l’on m’avait raconté ça, mon esprit vagabondait et, désormais, en cours, je passais tout mon temps à la déshabiller, rageant, en mon for intérieur, qu’elle ne s’habille jamais de façon plus sexy. Toujours ces robes sans forme jusqu’en dessous des genoux. La seule partie visible c’était ses gros mollets et le vernis brillant de ses doigts de pied. Ça, plus ses avant-bras charnus, d’un fort diamètre, exhibés en été, presque des cuisses, et qui laissaient présager l’opulence de ses formes.
Mon attitude ne devait pas vraiment passer inaperçue. Plusieurs fois je m’étais fait charrier par des élèves : « Alors, la mère Barreau, tu la trouves bandante avec ses grosses miches ? ...
... ». Malgré mes dénis, ils revenaient souvent à la charge. Là encore, il s’agissait d’une rumeur, mais elle s’amplifiait dangereusement. Il devenait de notoriété publique que je bandais pour la prof de maths et j’avais effectivement de plus en plus de mal à camoufler mon attirance pour elle. Mais qu’importe ! Je m’en foutais de tous ces cons, la fin d’année approchait et je n’aurais plus à les revoir. D’ailleurs, c’était déjà la période des bacs blancs, et bientôt les révisions.
Au contrôle de maths, je n’ai vraiment pas brillé. J’en aurais bien été incapable, même pour faire plaisir à ma prof. Pour moi, tout ça c’était du chinois. Géométrie et algèbre, je mélangeais tout allègrement et les équations au dixième degré avec 36000 inconnues, je n’en voyais absolument pas l’intérêt. Je n’eus pas la plus mauvaise note, mais peu s’en faut et puis… pour un redoublant, ça la foutait mal.
En me remettant ma copie, la prof me dit :
— Venez me voir à la fin du cours, j’ai à vous parler.
Tiens, une invitation, probablement pour m’engueuler. Jusqu’à présent, à chaque fois que j’avais eu affaire à elle, c’était toujours pour me faire houspiller.
Cela ne m’empêcha pourtant pas de rêver à son corps pendant toute la durée du cours.
Je l’avais rejointe à son bureau. Elle attendit patiemment que le dernier élève quitte la salle avant d’entamer la conversation :
— Alors Damien, vous allez faire quoi ? Vous n’avez pas envie de continuer vos études ?
— Non ! (Un « non » franc et ...