1. Sincères condoléances (1)


    Datte: 23/02/2020, Catégories: Erotique, Auteur: Alix, Source: Xstory

    ... l’homme, sans appuis ni force suffisante pour échapper à la folle et virile étreinte.
    
    Les doigts de l’homme écartent ses fesses, pénètrent son anus, tandis que le gland dur heurte sans répit une zone sensible au fond de son vagin dont elle ignorait jusqu’alors l’existence.
    
    — Monsieur Montaggio ! Arrêtez ! Je vous en supplie !... Je...Je...Ooohh !
    
    C’est trop d’émotions en un seul jour. Elle abandonne toute résistance. Des sensations, inconnues jusqu’à ce jour, naissent dans son ventre, parcourent sa colonne vertébrale, irradient tout son corps, des reins au cuir chevelu. C’est affreusement délicieux. Les parois de son vagin se resserrent et pulsent autour du membre dur et épais qui va, et vient en elle. Elle n’a jamais ressenti un tel plaisir !
    
    — Noonn ! gémit-elle langoureusement tandis qu’elle se cambre instinctivement sur la queue dure qui explose sa chatte.
    
    — Marie, mon amour ! gronde monsieur Montaggio en fourrant son visage contre la poitrine de la jeune femme.
    
    — Maman ! crie Sophie dans son extase.
    
    Après un dernier et puissant coup de reins, l’homme la plaque contre la porte qui vibre bruyamment et la pénètre au plus profond. Un flot de sperme brûlant inonde son utérus frémissant et déclenche le premier vrai orgasme de sa vie. La sublime jouissance emporte toute pensée cohérente tandis que son corps se convulse de plaisir.
    
    Alors que l’homme, tétanisé par le plaisir, jouit en elle, Sophie pousse instinctivement son pubis en avant pour prolonger ...
    ... l’extase.
    
    Leurs deux corps restent pressés l’un contre l’autre encore quelques secondes, puis la verge de l’homme glisse souplement hors de sa chatte.
    
    Monsieur Montaggio la repose doucement à terre avant de tomber à genoux devant elle, le visage tourmenté.
    
    — Excuse-moi, Sophie ! Je ne sais pas ce qui m’a pris ! Cela m’a fait un choc ! J’ai perdu la tête, bafouille l’homme entourant sa taille de ses bras et pressant sa joue contre son ventre.
    
    Que dire alors que ce qui n’aurait jamais dû arriver est irrémédiablement accompli ?
    
    Tout était allé si vite ! C’était à la fois bestial et émouvant. Jamais elle n’avait éprouvé une telle jouissance. Elle est toute bouleversée; d’autant plus que l’homme, pris manifestement d’un coup de folie, l’a prise pour sa mère. Elle n’éprouve ni colère ni rancune, seulement de la compassion pour la souffrance de cet homme. Une souffrance qu’elle partage.
    
    Elle pose doucement sa main sur la chevelure encore drue de l’homme qui aimait tant sa mère et la caresse. Elle se penche sur lui et murmure.
    
    — Je devrais être furieuse après vous, mais je ne le suis pas. Moi aussi, j’aurais aimé dire au revoir à maman, la serrer dans mes bras et l’embrasser. Ce qui vient de se passer est une merveilleuse preuve d’amour envers elle. Ce sera notre secret.
    
    — Merci pour ta compréhension. Elle va tellement me manquer. Tu reviendras me voir ? demande-t-il en levant vers elle des yeux suppliants.
    
    Elle hésite. Elle sait que si elle revient, ce ne ...
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