Sincères condoléances (1)
Datte: 23/02/2020,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Alix, Source: Xstory
... attributs sexuels de son mari. Elle n’avait jamais pensé qu’ils puissent être si différents d’un homme à l’autre.
L’homme, visiblement ému, glisse contre le mur. Se reprenant, Sophie se précipite à son secours. Elle passe un bras derrière le dos pour le soutenir. Des effluves fleuris de savonnette flottent dans l’air.
— monsieur Montaggio ! Vous allez bien ? demande-t-elle.
Des larmes coulent sur les joues rasées de frais. Les sanglots de cet homme si viril la bouleversent. Emue par le chagrin sincère qu’elle partage, elle serre l’homme dans ses bras. Son souffle chaud halète contre son oreille.
— Oh, Sophie ! Si tu savais ! Je l’aimais tellement !
Les mots et le ton l’amènent à penser que, peut-être, il y avait plus que des relations de bon voisinage entre sa mère et cet homme.
— Elle va tous nous manquer, répond-elle machinalement.
— Tu lui ressembles tellement, gémit l’homme.
Un peu plus tôt, son père lui disait qu’elle était tout le portrait de sa mère au même âge. Sophie ne peut résister à l’émotion et se presse contre le malheureux qui pleure dans ses bras.
— Laissez-vous aller, soupire-t-elle, chamboulée par le chagrin, le grand corps nu collé tout contre elle.
L’homme se relève, l’entoure de ses bras et la serre à son tour contre son large poitrail. Des baisers fiévreux mouillent sa joue. Un peu gênée, elle tourne la tête pour dire un mot gentil avant de prendre congé. Ses lèvres rencontrent celles brûlantes de l’homme qui l’embrasse ...
... soudain à pleine bouche. Elle suffoque sous la surprise et repousse vigoureusement le vieux fou. Elle perd l’équilibre, son dos bute durement contre la porte d’entrée qui résonne sous le choc.
Des mains passent fébrilement sur ses fesses et la soulèvent. Ses cuisses sont ouvertes sans ménagement repoussant sa petite robe noire plus haut sur ses hanches. Avant qu’elle ne comprenne ce qui lui arrive, des doigts épais écartent son fond de culotte et fouillent sa vulve encore humide du sperme de son mari. Horrifiée, elle sent ses chairs intimes s’ouvrir sous la poussée impitoyable du phallus.
— Non ! Ce n’est pas possible ! Je suis mariée ! Ce n’est pas bien ! Que va dire, Jean ?
— Ne faites pas ça ! Arrêtez ! Je vous en prie ! lance-t-elle désespérément, en se retenant de crier pour ajouter un scandale à ce jour de deuil.
L’homme déchaîné ne semble rien entendre. Son vagin est forcé sans pitié par l’épais mandrin qui s’enfonce inexorablement dans le délicat fourreau qui se dilate comme jamais avant.
Haletant comme un animal, l’homme dessert soudain son emprise. Surprise, elle s’affaisse et s’empale de tout son poids jusqu’à la garde sur le pieu de chair dur comme du bois.
Les pensées affolées s’entrechoquent dans son esprit tandis que l’homme la bourre à grand coup de reins contre la porte qui résonne comme un tambour endiablé.
— Non ! Il ne faut pas ! Monsieur Montaggio ! Arrêtez ! Elle gémit inutilement, les genoux relevés de part et d’autre des hanches de ...