1. Sincères condoléances (1)


    Datte: 23/02/2020, Catégories: Erotique, Auteur: Alix, Source: Xstory

    Sincères condoléances
    
    A vingt ans, c’est difficile de perdre subitement sa maman. Son père lui avait appris la triste nouvelle par téléphone. Après avoir raccroché, elle avait pleuré dans les bras de son mari. Une envie irrésistible d’être prise brutalement l’avait saisie. La pulsion de vie s’imposait face à la mort. Elle voulait que Jean lui fasse mal.
    
    Ils étaient mariés depuis presque six mois. Son éducation et sa pudeur l’empêchaient d’exprimer le désir animal qui la saisissait, par des mots. Elle s’était mise à genoux comme une dévergondée et, pour la première fois, avait offert son cul à son mari.
    
    Plus enclin à la consoler tendrement qu’à la brutaliser, Jean ne comprit pas qu’elle lui offrait enfin ce qu’elle refusait jusqu’alors. Il l’avait prise rapidement en levrette. Déçue par la douceur de la pénétration, elle se consola en se disant que cette fois sera peut-être la bonne et qu’elle tombera enceinte.
    
    Sophie, submergée par le chagrin, monte l’escalier à pas lents pour informer monsieur Montaggio de la triste nouvelle. Son mari était resté au premier, près de son beau-père malade et effondré de chagrin.
    
    Arrivée au quatrième étage, c’est le cœur battant et un peu essoufflé qu’elle presse le bouton de la sonnerie.
    
    — Ce doit être le seul immeuble bourgeois du quartier sans ascenseur !
    
    Des pas; un bruit de serrure; puis la porte s’ouvre. Monsieur Montaggio est un homme imposant aux larges épaules. Sa maman appréciait cet homme sympathique au visage ...
    ... agréable, qu’elle connaissait depuis plus des lustres. Sophie l’aimait bien aussi. Il était souriant, et avait toujours un mot gentil et des bonbons pour elle lorsqu’ils se croisaient dans le hall ou dans l’escalier.
    
    Vêtu d’une sortie-de-bain et une serviette à la main, il la regarde d’un air étonné. Ses cheveux mouillés sont en bataille. Visiblement, il vient de sortir de la salle de bains pour ouvrir la porte.
    
    — Tiens, Sophie ! Cela me fait plaisir de te voir. Entre !...Tu es venue voir ta mère ? Tu es arrivée quand ? demande l’homme nerveusement en refermant la porte derrière elle.
    
    — Bonjour monsieur Montaggio. Excusez-moi de vous déranger...J’ai une bien triste nouvelle...Maman est décédée d’un accident vasculaire hier, en fin d’après-midi. Elle n’a pas souffert ! Elle lâche d’une voix rauque d’émotions contenues.
    
    L’homme vacille tandis que son visage se décompose.
    
    — Ce n’est pas possible ! Il murmure en s’appuyant contre le mur de l’entrée, les bras ballants.
    
    A cause du choc sans doute, la ceinture, serrée à la hâte, se dénoue, provoquant l’ouverture du peignoir, exposant de façon incongrue un grand corps nu et musclé. La poitrine est couverte de poils grisonnants ainsi que le pubis. Sophie est stupéfiée par la vue des bourses et surtout par le pénis épais qui pend. Elle n’imaginait pas qu’un sexe d’homme pouvait être aussi développé. Elevée dans un pensionnat de jeune fille, et arrivée vierge devant l’autel, elle n’avait vu, jusqu’à ce jour, que les ...
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