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Un salon particulier
Datte: 23/02/2020, Catégories: fff, hagé, fagée, Voyeur / Exhib / Nudisme rasage, initiatiq, Auteur: Jane Does, Source: Revebebe
... attendre tout comme lui. — Eh bien ! Ma chère ? Pourquoi gardez-vous ce qui nous cache le meilleur de vous ? — Mais… je ne sais pas… — Vous êtes donc gênée par le regard de Bertrand. Alors je vous rassure, il est d’un genre très particulier. Il préfère les personnes à son image et s’occupe plus volontiers de gens lui ressemblant que du corps de jeunes filles, même en fleur telle que vous. Vous ne sauriez lui faire aucun effet. Mais je dois avouer que je vous trouve… sublime. Allons, retirez-moi cette culotte et se cache-seins qui ne vous mettent guère en valeur. C’était donc en tremblant un peu que ma main avait délacé le soutien-gorge avant de faire glisser ma culotte le long de mes jambes. — À la bonne heure ! Que vous voilà bien raisonnable. Comment pouvez-vous nous cacher de tels trésors ? Gertrude… tu peux être fière de ta nièce. Un beau brin de fille. Tournez-vous donc un peu que nous admirions ce que les hommes vont s’arracher. — Puis-je officier, Madame ? — Oui ! Oui, mon bon Bertrand, nous tenions juste à nous assurer que tout était parfait. Allez-y, faites votre travail. Le gaillard s’était donc approché de moi. Un carnet posé sur la table, il prenait des mesures, puis notait scrupuleusement celles-ci sur un croquis matérialisé sur le papier. Il me le montra. — Si Mademoiselle veut bien lever les bras de cette manière. À chacune de ses demandes, je fis ce qu’il voulait. Sur son calepin les chiffres prenaient place tout autour du corps ...
... stylisé. Il me demanda d’écarter les cuisses, passant son mètre de tissu autour de l’une d’elles. Il en fit autant autour de ma taille. Et finalement ce fut au tour de mes seins de se trouver bordés par le ruban gradué. Jamais les doigts du bonhomme n’avaient eu un écart ou un mouvement pour me frôler. Mais mes tétons avaient eu tout de même une sorte de sursaut sous le passage de ce frais visiteur. Les pointes s’étaient d’elles-mêmes gonflées d’une bizarre façon. Le type guindé avait eu un sourire. Cette histoire d’aimer les hommes ne me parut pas très crédible. Ce Bertrand à mon avis cachait plutôt bien son jeu. Mais les deux amies continuaient à pérorer à quelques pas, épiant chacun des mouvements du métreur. Alors le pingouin rangea crayon et livret. Il dialogua encore quelques instants avec ma tante, alors que je me rhabillais. Après avoir lui aussi bu un thé, il s’éclipsait aussi discrètement qu’il était arrivé, non sans m’avoir saluée. Geneviève d’une voix douce se rappela qu’elle s’était elle aussi déplacée pour moi. — Bien, ma chère, je vous ai bien observée. Vous êtes très bien faite. Restent cependant quelques détails à mettre en ordre. Nous allons sortir vous et moi. Rassurez-vous ! Je vous déposerai dès que nous en aurons fini avec ce que je désire pour vous. Vous voulez vous faire belle… montrez-moi aussi ce qui vous sert de parfum. — Je n’en ai pas. J’utilise seulement une eau de toilette ou de Cologne et encore seulement lorsque je sors. C’était interdit au ...