1. Un salon particulier


    Datte: 23/02/2020, Catégories: fff, hagé, fagée, Voyeur / Exhib / Nudisme rasage, initiatiq, Auteur: Jane Does, Source: Revebebe

    ... elle avait saisi l’opportunité de renouer avec une existence plus saine. Bien qu’elle avouât aisément s’être donnée pour le plaisir à des tas de bonshommes. Ceux-ci l’avaient toujours respectée, ne l’avaient jamais, à l’inverse de beaucoup de maris, battue. Et de plus elle s’était constitué une jolie pelote, un bas de laine conséquent durant ce temps passé au service de Madame.
    
    Son mariage consommé, Geneviève en bonne amie l’avait toujours revue. Au fil du temps, les deux femmes avaient eu des rapports véritablement amicaux, voire chaleureux depuis que la tenancière de bordel était en retraite. Quant à Paul, l’époux dévoué de Gertrude, il avait vécu heureux avec une femme à son écoute, et cerise sur le gâteau, experte dans l’art du sexe. Que rêver de mieux pour un homme digne de ce nom ? Alors plus la vieille dame me narrait ses turpitudes, plus je me laissais aller à rêver de posséder des compétences analogues. Et franchement, bien que je n’en dise pas un mot, je comptais beaucoup sur Madame pour parvenir à mes fins.
    
    — xxxXXxxx —
    
    Par principe, pour Geneviève une parole donnée se devait d’être tenue. Alors un samedi après-midi, vêtue comme une grande dame parisienne, elle débarqua chez Gertrude. Un homme l’accompagnait. Presque chauve, un costume trois-pièces d’une élégance rare, il se tenait à deux pas derrière cette femme droite comme un I, malgré son grand nombre d’années. Ma tante et elle se saluèrent d’un de ces bisous sonores, avant qu’elle ne me serre la ...
    ... main.
    
    — Ah Charlotte ! Heureuse de vous revoir. Je suis ici pour vous ! Je vous présente un de mes plus fidèles amis. Bertrand… il travaille avec un de nos plus illustres couturiers.
    — Ah ?
    — Oui, ma chère. Ce Monsieur est là pour prendre vos mensurations. J’aimerais que nous sortions un peu toutes les deux. Et la maison Dior va vous vêtir, vous verrez mon ami Christian est un véritable magicien. Bien. Gertrude pouvons-nous utiliser ton salon ?
    — Mais tu n’as pas à demander, fais ! Et toi, ma chérie, écoute bien ce que va te dire Bertrand. Des mesures qu’il va prendre sortiront des atours qui vont faire de toi… une reine ou une cendrillon.
    — Bien ! Alors, allons-y ! Venez mon enfant.
    
    J’avais suivi les deux vieilles dames et l’homme nous avait également emboîté le pas. Là dans le salon, je n’étais pas au bout de mes surprises. Les mots de Gertrude surtout avaient de quoi me faire sursauter !
    
    — Bien Charlotte, voudrais-tu te déshabiller ?
    — Ici ? Et entièrement, mais…
    — Et quoi ? Mais quoi ? Allons Bertrand en voit des dizaines tous les jours de femmes nues. Il ne veut que tes mesures. C’est mieux sans vêtements. Et tu verras ce qui va ressortir de cet après-midi.
    — … !
    
    Avec le cœur battant, devant les deux dames aux cheveux blancs et un homme qui n’en avait pratiquement plus, j’avais donc entrepris de me défaire de tout ce que je portais. J’avais gardé ma brassière et ma culotte. Ce fameux Bertrand ne bougeait absolument pas et Gertrude comme Geneviève semblaient ...
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