Dépucelage par ma propriétaire - Histoires de Sexe

Dépucelage par ma propriétaire

... cette première fois mais les gémissements qu’elle poussait m’encourageaient à continuer. Doté d’une langue plutôt grande, j’en profitai pour explorer son intimité et découvrir qu’elle avait un goût plutôt métallique mais pas désagréable.

Les gémissements devinrent de plus en plus rapides et essoufflés, et Madame de Vallaire poussa ma tête avec ses mains pour la coller tout à fait contre son sexe. J’avais du mal à respirer mais je continuai à la lécher, essayant de ne pas gâcher l’arrivée de son orgasme. Tout d’un coup, elle relâcha la pression, me repoussant doucement.

— Hum, c’était trop bon, tu es un lécheur de première classe.

Elle dut voir à mon visage que je me demandais si c’était terminé ou non.

— Bon, maintenant, il va falloir s’occuper un peu de toi. Qu’aimerais-tu découvrir comme plaisir ? Tu veux que je te suce ?
— Euh non, j’aimerais découvrir plutôt la pénétration classique. Mais je n’ai pas de préservatif.
— Moi non plus, tu penses bien qu’une femme mariée et fidèle n’a pas ça chez elle. Mais cela fait plus d’un an que je n’ai pas fait l’amour et je pense que tu n’es pas à risque alors on peut faire sans.

J’hésitais un peu mais je n’étais pas dans un état où mon cerveau pouvait commander alors j’acceptai de faire sans. Madame de Vallaire se mit alors à quatre pattes sur le banc. Je me plaçai derrière elle, remontant sa robe pour dévoiler deux fesses rebondies. Elle me guida pour trouver l’entrée de son sexe. Je la pénétrai doucement, surpris par ...

... la chaleur qui entoura mon pénis. Mon excitation était à son comble et je sentais que j’allais jouir rapidement. Madame de Vallaire avait un sexe plutôt étroit, mon pénis se frottant à chaque va-et-vient le long des parois de son vagin.

Au bout de quelques allers-retours, je sentis une onde de plaisir monter en moi, mon sexe se tendit et je fus parcouru d’un frisson intense avant de jouir au plus profond du vagin de Madame de Vallaire. Je me retirai et Madame de Vallaire se mit à genoux devant moi.

— Ça ne te dérange pas si je suce ton sexe ? Il faut que tu sois tout propre avant de partir de chez moi.

J’acceptai, de toute façon, j’étais maintenant bien incapable de faire quelque chose. Elle saisit alors mon sexe qui était devenu à nouveau tout mou et se mit à le lécher consciencieusement jusqu’à ce qu’il soit tout propre. Elle se mit alors debout, réajusta sa robe et attendit que je me rhabille. Elle me dit alors :

— J’espère que tu as apprécié ta première fois. Je dois avouer que tu es plutôt doué pour le cuni. Pour ce qui est du reste, je ne peux pas dire. Est-ce que ça te dirait que l’on continue ton apprentissage une autre fois ?

Mon excitation était retombée mais à l’idée de pouvoir découvrir les plaisirs du sexe avec une femme sans doute expérimentée, je ne pus refuser.

— Ça sera avec plaisir, j’ai passé un très bon moment et je dois dire que je me souviendrai toujours de cette première fois. Et je suis à votre disposition pour remettre ça quand vous ...