Dépucelage par ma propriétaire
Datte: 22/02/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
noculotte,
Oral
pénétratio,
init,
inithf,
voisins,
Auteur: Nobidul, Source: Revebebe
Je venais de m’installer à Paris, quittant le domicile familial à la fin de mes études. J’avais trouvé un grand studio dans le neuvième arrondissement, au sixième étage d’un immeuble assez ancien. 45 mètres carrés pour un loyer pas trop élevé. Le rêve. Je passai les premiers jours à m’installer tranquillement, rangeant les quelques cartons que j’avais pu apporter de chez mes parents.
Et puis, un jour, peut-être une ou deux semaines après être arrivé dans mon appartement, quelqu’un sonna. Intrigué, car n’attendant pas de visite, j’allai ouvrir prudemment. Une femme d’une quarantaine d’année, blonde platine, les yeux bleu azur, plutôt bien conservée pour son âge, se tenait devant ma porte. Je ne pus m’empêcher de la dévisager plus en détail. Elle avait une poitrine assez volumineuse, mise en évidence par un chemisier en soie, moulant et très décolleté. Une jupe en cuir rouge mettait en évidence ses formes et descendait jusqu’aux genoux, pour aller à la rencontre d’une paire de bottes noires parfaitement cirées. Elle était plus grande que moi, d’une dizaine de centimètres, aidée en cela par des talons aiguilles.
— Bonjour Monsieur Macron. Je me présente : je suis votre propriétaire, Madame de Vallaire.
— Enchanté, Madame.
Je me mis à stresser. Est-ce qu’il y avait quelque chose que j’avais mal fait ?
— Je viens vous voir pour vous rencontrer. En fait, j’habite moi aussi dans l’immeuble, au dernier étage, et j’aime bien voir mes locataires. Cela humanise un peu ...
... la chose.
— Au dernier étage ? Vous devez avoir une vue magnifique. Déjà qu’au sixième, la vue est belle.
— Oui, c’est pas mal du tout. Peut-être que je vous la montrerai un jour, si cela vous dit. D’ailleurs, pendant que j’y pense, pour le loyer, ce n’est pas la peine d’envoyer votre chèque par la poste. Passez donc me voir au début de chaque mois.
— Comme vous voulez.
— Sur ce, je vous souhaite une bonne installation.
— Bonne journée à vous.
Et voilà que ma visiteuse surprise s’en alla, dans un nuage de parfum, ma foi très agréable. J’étais un peu troublé par cette visite car je dois avouer que Madame de Vallaire était plus qu’attirante. Normalement, j’étais plus attiré par les femmes dans le début de la vingtaine, moi-même n’ayant à l’époque pas encore vingt-cinq ans. Mais je refroidis mes ardeurs en me disant qu’elle était sûrement venue pour voir à quoi ressemblait son nouveau locataire et surtout si elle risquait ou non d’avoir des ennuis avec lui.
Environ une semaine passa après cette visite avant que je ne croise à nouveau Madame de Vallaire dans l’entrée de l’immeuble. Elle attendait l’ascenseur qui, je l’avais remarqué, n’était pas des plus rapides.
— Ah tiens, bonjour Monsieur Macron. Comment allez-vous ?
— Très bien. Et vous ?
— Parfaitement bien. Alors, vous vous plaisez dans votre nouvel appartement ?
— Oui, rien à dire, je m’y sens déjà très bien.
L’ascenseur arriva à ce moment. J’ouvris la porte pour laisser passer Madame de Vallaire puis ...