1. Dépucelage par ma propriétaire


    Datte: 22/02/2020, Catégories: fh, fplusag, noculotte, Oral pénétratio, init, inithf, voisins, Auteur: Nobidul, Source: Revebebe

    ... j’entrai dans l’ascenseur à sa suite. L’ascenseur étant plus que petit, nous nous retrouvâmes serrés l’un contre l’autre.
    
    — Désolé, j’espère que je ne vous écrase pas, lui dis-je.
    — Non, non, cela va, c’est l’inconvénient de cet ascenseur.
    
    Ce n’était pas vraiment un inconvénient pour moi, car j’avais une vue plongeante sur les seins de Madame de Vallaire, qui portait ce jour-là une robe plus que moulante. Je devais être en manque car je commençai à avoir une érection. Un peu gêné, j’espérais qu’elle ne se rendait compte de rien.
    
    — Au fait, je me rends compte que je ne suis pas très polie. Je ne vous ai pas invité pour fêter votre installation dans l’immeuble. Que diriez-vous de prendre une tasse de thé chez moi ?
    — Pourquoi pas, ça serait avec plaisir.
    
    J’avais accepté car, sans vraiment savoir pourquoi, j’étais plus qu’attiré par ma propriétaire. Je ne descendis donc pas au sixième mais continuai jusqu’au huitième étage. Madame de Vallaire était la seule occupante du dernier étage de l’immeuble. L’entrée de son appartement donnait sur un salon richement meublé, avec une vue imprenable sur tout Paris.
    
    — Mettez-vous à l’aise, je vais préparer le thé, me dit-elle, avant de disparaître.
    
    Je m’installai donc dans un canapé, attendant quelques instants avant qu’elle revienne. Elle s’assit à côté de moi, posant sur la table basse devant nous un petit plateau en argent avec la théière et deux tasses.
    
    Nous discutâmes de choses et d’autres qui ne présentent pas ...
    ... trop d’intérêt d’être décrites ici mais je remarquai que Madame de Vallaire touchait fréquemment mon bras lorsqu’elle me parlait. Accidentellement, enfin d’après ce que je crus à l’époque, elle se déplaça légèrement pour que son genou reste en contact avec ma jambe. J’hésitai alors, ne sachant que faire. Est-ce que je devais me déplacer un peu pour limiter ces contacts, quitte à me brouiller avec ma propriétaire ? Ou alors, est-ce que je devais écouter mon sexe qui semblait trouver la situation tout à fait intéressante. N’arrivant pas à prendre de décision, je laissai Madame de Vallaire continuer ses attouchements.
    
    Une fois le thé terminé, elle me proposa d’aller faire un tour sur sa terrasse pour admirer la vue. J’acceptai, heureux de prolonger ce moment particulier. La terrasse était aussi grande que mon appartement. Il y avait beaucoup d’arbustes mais suffisamment petits pour ne pas gâcher la vue. Dans un coin de la terrasse étaient installés une petite table et des bancs recouverts de cousins. Alors que j’admirais la vue, je sentis tout à coup une main se poser sur une de mes fesses. J’eus un petit sursaut de surprise mais j’avais décidé de laisser faire Madame de Vallaire. Elle me dit alors, quasiment en chuchotant :
    
    — Vous me plaisez beaucoup, Monsieur Macron.
    — Vous aussi Madame, vous me plaisez beaucoup, répondis-je dans un souffle, en me retournant pour lui faire face.
    
    Je me rapprochai d’elle, la regardant droit dans les yeux. Elle remit ses mains sur mes ...
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