Dépucelage par ma propriétaire - Histoires de Sexe

Dépucelage par ma propriétaire

... fesses et se colla contre moi pour m’embrasser goulûment. Sa langue força le passage de mes dents pour aller jouer avec ma langue. Bien que plus tout jeune, avec mes presque vingt-cinq ans, je n’avais jusqu’alors jamais embrassé une femme sur la bouche et par conséquent, j’étais encore puceau. Je découvris donc de nouvelles sensations plutôt agréables d’ailleurs. Je laissai mes mains parcourir le dos de Madame de Vallaire, caressant sa robe qui était sans doute en satin ou en soie. Téméraire, j’allai même jusqu’à lui mettre la main aux fesses.

— J’ai très envie de toi, me murmura-t-elle à l’oreille, passant naturellement au tutoiement.
— Moi aussi. Mais…
— Oui ?
— Il n’y a pas un Monsieur de Vallaire quelque part ?
— Si, bien sûr, mais tu sais, cela fait bien longtemps qu’il ne s’intéresse plus à moi mais uniquement à ses petites secrétaires. Et ne t’en fais pas, il ne risque pas de rentrer, il est en déplacement en ce moment.

Elle mit fin à la conversation en plaquant à nouveau ses lèvres contre les miennes pour un nouveau baiser. Elle m’emmena alors vers un des bancs de la terrasse, pour être plus à l’aise. Je continuai à l’embrasser et à la caresser, ne sachant pas comment continuer.

— Tu n’as pas envie d’aller plus loin ?
— Si.
— Mais ?
— Il n’y a pas de mais, c’est juste que je ne suis pas très expérimenté, dis-je en rougissant.
— Oh, c’est ta première fois ?
— Oui.
— Cela fait des années que je n’ai pas dépucelé un homme. Tu vas voir, cela n’est pas ...

... bien difficile.

Elle m’embrassa à nouveau, mais cette fois, ses mains se mirent à me déshabiller. Rapidement, mon pantalon tomba sur mes chevilles. Elle retira tout aussi rapidement mon t-shirt. Elle me laissa alors le temps de retirer mes chaussures et le reste de mes vêtements. Assise sur le banc, elle me contempla, nu comme un ver, mon sexe dressé vers elle.

— On ne va pas jouer avec ton pénis tout de suite. Vu que c’est ta première fois, tu risques d’être plutôt rapide. Alors si ça te dérange pas, viens me donner un peu de plaisir.

Elle écarta ses cuisses, remontant en même temps sa robe. Je découvris alors qu’elle portait, non pas un collant mais des bas noirs, tenus par un porte-jarretelles. Et surtout, alors que sa robe était remontée à la taille, je vis qu’elle ne portait pas de culotte, laissant à l’air libre son sexe parfaitement lisse. C’était la première fois que je découvrais un sexe féminin, comprenant pourquoi on pouvait l’appeler un petit abricot avec les grandes lèvres de chaque côté de la fente. Arrêtant ma contemplation, je m’agenouillai devant Madame de Vallaire, comprenant ce que je devais faire. Ne voulant pas aller trop vite, je commençai par caresser ses jambes, remontant le long de ses bas, les couvrant de baisers. J’arrivai enfin au niveau de son sexe et je collai ma bouche contre, entreprenant de le lécher pour essayer de lui procurer le maximum de plaisir qu’un débutant pouvait faire.

Je n’ai jamais su si Madame de Vallaire a simulé pour ...