Thèse à la grecque. L'étudiante et le pêcheur. (3)
Datte: 17/02/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: bobby29, Source: Xstory
... mes fesses. Il les voit, il les aime. Mes jambes légèrement entrouvertes... Ce n’est rien. Juste le bonheur d’être nue. Ici, là, avec lui. Aucune gêne. Il me connaît. C’est mon complice.
Je ne l’entends plus. Mais je sais qu’il est toujours là. Je sens son regard. Que fait-il ? Va-t-il venir ? Non ! Je n’oserai pas...
D’un bond, je me retourne et m’assois face à lui, les jambes repliées contre ma poitrine, serrées. Il est bien là. Il s’est assis au bord de l’eau, comme hier. Il regarde l’eau, relève la tête vers moi, plonge à nouveau son regard dans la Méditerranée... Je suis toute nue, face à lui. Il est là, à 20 mètres. Il voit mes jambes, mes cuisses, mes fesses, le haut de ma poitrine... Voit-il ma fente, entre mes jambes repliées ? Je serre bien les mollets, je joue à cache-cache... Mais j’aimerais tant qu’il y ait une petite faille... Il ne bouge pas. Nous cohabitons. Lui, en slip de bain. Moi, nue. Il est trop loin, je ne vois pas son entrejambe... Est-il en érection ? Comment est son sexe ? Est-il épais, ou fin ? Long ? Court et massif ? Son corps n’est pas très poilu, son sexe est-il bien caché ? Je l’imagine fin, long, gracieux, comme lui. Ses bourses, bien pendantes, peu velues, douces, jolies... Je veux les manger, les lécher. Avaler son sexe, en entier, tout au fond, dans ma gorge. Le sucer, le sucer comme une folle, jusqu’à la dernière goutte de sa semence qui envahit ma bouche, dégouline sur mon corps. Mais... est-il puceau ? Il est si beau... Il y a ...
... sûrement des tas de filles de son âge sur l’île, et avec les touristes... Mais il est si timide... J’aimerais discuter un peu avec lui, mais son français est si limité, et je ne parle pas un mot de grec !
Je veux le rejoindre. Oserais-je y aller nue ? Non ! Pas là, pas maintenant. De toute façon, il est bientôt huit heures. Il va falloir que je remonte. Je saisis mon maillot de bain. Je me retourne vers la falaise, enfile mon haut, me relève et fais vite glisser le bas sur mes jambes et mes fesses. Je me tourne à nouveau vers lui et plonge. Je nage un peu dans la crique, un peu de crawl, de brasses, de plongées sur quelques mètres, puis je m’approche du rocher. Je me hisse sur la roche.
— Bonjour Adonis.
— Bonjour Julia.
— Bonne pêche aujourd’hui ?
— Oui, dix gros poissons.
— Reviendras-tu pêcher ce soir ?
— Oui.
— Je dois rentrer maintenant Adonis. Tu restes ici ?
— Oui. J’aime cet endroit le matin. Je vais nager peut-être.
— Alors à plus tard Adonis...
— Oui. C’est marché aujourd’hui. J’apporte la nourriture cet après-midi.
— Oh c’est vrai ! Merci !
Le temps de cette petite discussion, dans le soleil déjà bien haut, mon maillot est presque sec. Je saisis mon short et mon débardeur et les enfile. Je me lance dans l’escalade. J’arrive bientôt au chemin. Je vois Adonis debout, en bas. Il grimpe plus haut sur le rocher, s’accroche à un petit surplomb de la falaise, à environ trois mètres au-dessus de l’eau. Il se prépare à plonger. Au terme ...