Thèse à la grecque. L'étudiante et le pêcheur. (3)
Datte: 17/02/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: bobby29, Source: Xstory
... bande ! C’est sûr ! Il me veut ! Il veut me baiser, là, maintenant, sur cette terrasse, m’arracher mon drap, me bouffer les seins, le ventre, m’écarter violemment les cuisses, se jeter sur ma chatte ! Me donner sa belle jeune queue tendue ! Oui ! C’est sûr ! Il veut me prendre !
— Poisson madame ! Je pose dans la cuisine ?
— Ah... euh... oui, c’est ça. Euh, OK Adonis.
Il entre dans la maison. Je le suis. Je réalise que la pièce est dans un total désordre. Des sous-vêtements, un short, un body, une robe, gisent sur le sol, au pied du lit défait, sur la chaise... Sur la table du coin cuisine, aucune place pour poser quoi que ce soit entre mon ordinateur et mes papiers. Je rassemble mes feuilles de notes en catastrophe et les pose sur la chaise. L’ordinateur rejoint le lit. Il pose sa besace. En sort une belle araignée, et trois rougets.
— Vous aimez ça madame ?
— Oui, oui... J’adore le poisson. Et le crabe.
— trois poissons, c’est bon ?
— Oui, merci Adonis. Ca fera un merveilleux diner. Mets ça sur ma note avec la nourriture du marché, OK ?
— OK madame. Je dois partir.
Il referme sa besace, l’enfile autour de son torse et se dirige vers la porte. Je le suis à nouveau sur la terrasse.
— Merci Adonis. Passe une bonne soirée.
— Bonne soirée madame.
— Adonis... Appelle-moi Julia s’il te plait... Et tu peux me tutoyer... Me dire « tu », pas « vous »...
— OK. Au-revoir...
Il s’en va. Avant de passer le muret de pierres sèches, il s’arrête et ...
... se retourne.
— Vous êtes très belle madame... Julia. A demain.
Je reste sans voix. Je le regarde. Il est reparti aussitôt, il remonte à grands pas le chemin vers la route, vers chez lui. Ai-je bien entendu ?
sept JUILLET
Je suis face à la crique. Six heures 30. Je suis seule. Adonis n’est pas encore là. Mais je sais qu’il va venir. Je descends.
Je nage. Je nage dans l’eau encore sombre. Le soleil est bas et n’éclaire pas ce côté de l’anse. Je m’abandonne. Je distingue à peine le fond. Je sens parfois des frôlements, des courants. L’eau caresse mon corps nu. J’adore plonger, sentir mon dos, mes fesses, mes jambes se replier, transpercer la surface, s’exposer au jour naissant, puis s’enfoncer dans l’onde mystérieuse. Sentir l’eau entre mes jambes courir à travers mes poils noirs, passer entre mes lèvres, mes fesses, caresser mes cuisses. Mes seins lourds, portés par la mer. Je jouis. Je jouis de toute cette liberté, cette présence totale, là, maintenant.
Je me hisse sur la plateforme de marbre. Je m’allonge. Comme hier. J’attends. Je sais qu’il va venir. Et je sais qu’il me trouve belle. Je veux qu’il me voie. Encore. Toujours. Chaque matin. Notre secret.
Ca y est, je l’entends ! Il a atterri sur le rocher, il fait coulisser la corde. Je l’entends sortir le filet. Retirer les poissons, les assommer d’un grand coup sur le rocher, de ses mains puissantes. Les jeter dans sa besace. J’entends le filet qui coulisse à nouveau, plonge... Mes fesses. Je lui offre ...