La transgression
Datte: 15/02/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
copains,
bizarre,
hotel,
dispute,
revede,
pénétratio,
fsodo,
nostalgie,
portrait,
Auteur: Lignière, Source: Revebebe
... seul et unique homme qu’elle avait aimé et connu et, jamais, elle n’avait imaginé se trouver dans cette situation. Depuis plusieurs années, leurs relations se limitaient à deux ou trois rapports par mois. Elle aurait tellement souhaité que son mari lui accorde plus d’attention. Je l’avais interrogée pour savoir quand elle avait fait l’amour la première fois. Elle ne m’avait pas répondu.
Je l’écoutais attentivement, posant des questions qui prouvaient l’intérêt que je portais à sa vie. Elle avait fini par se détendre et je m’étais risqué à l’embrasser. Je ne voulais pas me presser. Elle s’était allongée sur le lit, les jambes croisées, un bras replié sur les yeux. Je l’avais alors déshabillée lentement, tentant, mais en vain, d’obtenir son concours. Après avoir si longtemps rêvé d’elle, je mourais maintenant d’envie de la découvrir. De fait, ses seins étaient plutôt petits avec des aréoles très brunes. Je ressentais en moi une émotion que je n’avais sans doute jamais ressentie jusqu’à ce jour. Cette épouse exemplaire un peu coincée, qui s’ingéniait à être invisible, était là, nue, impudente, les jambes écartées, le sexe dévoilé. Compte tenu des circonstances, j’avais pris l’initiative de la tutoyer.
— Tu me fais là un beau cadeau.
— Louis, je ne prends pas la pilule, je n’utilise aucun moyen de contraception, alors fais attention car je dois être féconde et je n’ai pas du tout envie de tomber enceinte.
Pour elle, faire l’amour était une gymnastique assez simple. Un ...
... homme nu se couchait sur une femme nue elle aussi, il la pénétrait puis se retirait et chacun pouvait dormir. Elle ne connaissait pas d’autres positions ni d’autres jeux érotiques. J’avais embrassé son sexe et tenté de la pénétrer avec ma langue, mais elle m’avait repoussé. Quand je lui avais demandé de me prendre dans sa bouche, elle s’était contentée de me lécher rapidement à petits coups de langue ainsi que l’aurait fait un enfant lapant un cornet de glace trop froid. Au moment de la pénétrer, elle m’avait pris la tête entre les mains et m’avait regardé fixement, les yeux dans les yeux. Pendant tout notre ébat, elle était restée dans cette position, me laissant le soin de donner le rythme à nos corps. Elle avait joui doucement, à petite voix. Sentant que moi-même je risquais d’éjaculer, elle m’avait vite repoussé et je m’étais répandu sur son ventre. Un peu plus tard, elle avait quitté la chambre pour prendre une douche.
J’étais un peu dépité par cette première expérience. Manifestement Annick n’avait pas eu une vie sexuelle très imaginative. La bourgeoise que j’avais imaginée dotée d’un tempérament torride, s’était révélée être une bien piètre amoureuse. Mais le pire n’était pas là. À son retour de la salle de bains, vêtue d’un peignoir minutieusement fermé, elle avait sur le visage un air que je n’avais pas aimé.
— Alors Louis, vous êtes content de vos exploits ? Vous m’avez possédée comme vous le souhaitiez, vous allez pouvoir vous vanter auprès de vos amis. Annick ...