La transgression
Datte: 15/02/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
copains,
bizarre,
hotel,
dispute,
revede,
pénétratio,
fsodo,
nostalgie,
portrait,
Auteur: Lignière, Source: Revebebe
... Huguet a trompé son mari dans un vulgaire hôtel de troisième classe.
Elle avait, alors, dressé le catalogue de mes défauts, mis en évidence ma fourberie et mon absence de sens moral. Elle avait été trompée par moi et, pire que tout, elle avait trompé son mari. Je l’avais poussée à trahir l’engagement de fidélité qu’elle avait pris lors de son mariage. Pendant une heure je n’avais pas pu placer un mot et, j’avais dû écouter en silence ce si partial réquisitoire. Elle était loin la gentille Annick que je connaissais. Elle avait perdu de son mystère. Quand elle avait regardé sa montre, elle avait décidé qu’il était temps de rentrer car ses filles allaient sortir de classe. Je n’étais pas trop mécontent de son départ, mais j’étais déçu, mortifié par son injustice, et surtout par l’incertitude qui pesait sur l’avenir de nos relations. Je ne prétendais l’aimer mais je l’avais toujours respectée et je ressentais pour elle un très grand sentiment tendresse.
Elle était sortie de la salle de bains habillée comme à son accoutumée avec une jupe assez longue, un pull ras du cou et son éternel carré de soie. Elle était redevenue l’objet de mon fantasme. Je l’avais retrouvée. J’étais resté sur lit, toujours nu, mais de voir cette icône un peu glacée, m’avait redonné une certaine vigueur et aussi l’envie de la posséder comme j’en avais toujours rêvé. Lorsqu’elle s’était penchée pour me donner un baiser distant, j’avais glissé ma main sous sa jupe et commencé à lui caresser la cuisse. ...
... Sa réaction m’avait alors surpris car elle m’avait paru se tétaniser, incapable de faire un geste, la main verrouillée sur mon épaule, sans un geste pour me décourager. J’avais fixé son regard mais elle avait semblé ne pas me voir. Lorsque mes doigts avaient commencé à investir sa vulve, elle avait, dans un mouvement instinctif, écarté légèrement les genoux pour faciliter mes mouvements. Je n’avais rien à perdre, je la sentais fragilisée, il fallait que je prenne l’initiative.
Je m’étais relevé et je l’avais poussée sur le lit, à quatre pattes, puis j’avais retroussé sa jupe. Comme elle s’était vivement opposée à ce que je baisse sa culotte, j’en avais tiré le fond de côté pour découvrir son sexe dans lequel je m’étais engouffré sans ménagement aucun. Surprise, elle avait soufflé bruyamment mais j’avais commencé des allers-retours vigoureux, tâchant de la posséder au plus profond d’elle-même. Malgré l’interdit qu’elle avait prononcé deux heures auparavant, j’avais entrepris de caresser son petit trou dans lequel j’avais fait pénétrer mon index. Ses tentatives pour m’en empêcher m’avaient parues manquer de conviction et j’avais continué sans m’en soucier. Annick avait commencé à gémir ainsi je l’avais imaginé, déclenchant encore plus de vigueur en moi. Je me sentais énorme, elle me trouvait trop puissant. Mais qu’importe, je continuais. Sa respiration s’était fait plus bruyante, ses bras avaient fléchi, elle reposait maintenant sur les avant-bras faisant pointer encore plus ...