1. Valérie


    Datte: 15/02/2020, Catégories: fh, jeunes, oncletante, alliance, amour, fsoumise, Oral pénétratio, fdanus, fouetfesse, init, amourcach, fsoumisah, Auteur: Agerespectab, Source: Revebebe

    ... la menacer lors du prochain conflit entre elle et moi.
    
    Voilà ce que ma belle-sœur m’a déclaré après la première fessée que j’ai administrée à Valérie.
    
    Les années ont passées. De fait, il semble bien que ma nièce se soit montrée obéissante avec sa mère puisqu’il n’a plus été question de fessée pendant plus de quatre ans. Si ma belle-sœur s’est trouvée obligée de corriger sa fille, ce fut sans qu’elles ne m’en parlent, ni l’une, ni l’autre.
    
    En fait j’ai mis du temps à comprendre. Comprendre qu’il existait, comme souvent entre mère et fille, une sourde guerre de position vis-à-vis des hommes ; il me fallait, si je voulais conserver la confiance de ma nièce, que je lui dissimule complètement que sa mère et moi étions assez complices. Je suis parvenu à obtenir de Marithé un « modus vivendi » selon lequel nous ferions semblant d’un froid entre nous, n’échangeant que par écrit des billets aussitôt détruits, ou planqués en lieu sûr, après lecture.
    
    Valérie, après ses dix-huit ans, m’a adressé des signaux d’alarme bien peu discrets, avec ses jupes très courtes et ses premiers strings qu’elle me laissait découvrir furtivement. Mais comme dit l’adage « ce n’est pas aux vieux singes que l’on enseigne les grimaces ». Donc j’ai fait celui qui ne voyait rien jusqu’au jour où :
    
    — Dis Tonton, tu crois pas que t’es un vieux con, toi finalement ?
    — Hum… c’est bien possible, après tout - et je me rapproche d’elle doucement.
    — Ben oui, comment ça se fait que t’as jamais pu ...
    ... trouver une femme ?
    — C’est une bonne question et je vais y répondre tout de suite !
    
    Et, ce disant, j’étais assez près d’elle pour lui attraper un poignet, la trainer jusqu’au canapé, la basculer sur mes cuisses. Lui maintenant les deux poignets ensemble, je lui retrousse sa jupette et j’ai tout de suite le spectacle de son derrière nu, puisqu’elle portait un string ce jour-là.
    
    J’ai appliqué une longue fessée, sans prononcer un seul mot. C’était de bonnes claques, mais pas les plus violentes, tout de même. J’agissais calmement, sans colère, cherchant surtout à être à l’écoute de son corps. J’étais presque sûr qu’elle m’avait provoqué froidement pour arriver à ce résultat, je cherchais à en recueillir la preuve. Comme ses jambes menaient une sarabande insupportable, j’ai déplacé ma jambe droite pour coincer les siennes entre mes cuisses. De la sorte, ses fesses étaient vraiment offertes à la correction, quelle qu’elle soit. Mais je n’ai pas ajouté de sévérité. Elle a reçu cinquante claques, espacées chacune de plus d’une seconde puisqu’il s’est écoulé presque une minute et demi. J’ai arrêté la fessée et lui ai demandé :
    
    — Est-ce que cela te suffit ?
    — Oui.
    — Oui qui ?
    — Oui Tonton.
    — Dans ce cas, si tu souhaites vraiment que ce soit fini, il va falloir demander pardon.
    — Oui, pardon Tonton.
    — Maintenant tu m’expliques pourquoi tu m’as dit ces mots méchants, et ne mens pas sinon je recommence en plus violent.
    — Parce que je voulais une fessée…
    
    Je l’aide à se ...
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