Au commencement, il y avait Natalia - Histoires de Sexe

Au commencement, il y avait Natalia

... tête, pour que sa bouche vienne s’empaler sur mon sexe, et elle gémit, hoquette, pendant mon gland se perd en clapotis réguliers dans l’immensité liquide de sa cavité buccale. Je n’ai jamais connu ça.

Parfois, je songe à tous ces médiocres, qui se tapent leur grosse en missionnaire, en songeant à toutes ces femmes magnifiques qu’ils n’auront jamais. Je ne sais si je dois en rire ou en pleurer.

Après tout, c’est si simple…

Douche, shampoing, soins pour le visage, tenue décontractée. Je me permets l’audace d’un polo Lacoste au milieu de mon paysage Armani, juste pour le fun. Puis je décolle pour retrouver Giacomo. C’est bon, d’avoir une décapotable, par ce temps. J’ai bien envie de l’emmener sur la côte, manger des fruits de mer, et flamber un peu.

Un truc que nous aimons par dessus tout, c’est faire du charme à des filles pas très jolies, leur faire croire qu’on a envie de leur faire faire la grande chevauchée, et se barrer pliés en deux de rire. La plupart nous regardent avec les yeux brillant d’une reconnaissance sincère. Mais les poignées d’amour, un pif trop gros, nous ne pouvons pas, définitivement. Parfois, quelques mal-baisées ne jouent pas le jeu. Mais elles comptent pour peanuts : elles ont certainement été tellement déçues par le sexe qu’elles ne savent pas ce qu’elles perdent.

Lorsque j’arrive, vers 11 h, Giacomo est attablé dans son jardin, devant son pavillon, avec une créature de rêve dont la blondeur ne m’est pas inconnue…

***

La première ...

... fois où mon regard croise celui de Natalia je sais, que le soir même, elle va avoir l’immense honneur de goûter à ma bite. Ses trois orifices seront comblés pendant de longues heures. Elle porte une robe Dolce & Gabanna très échancrée, au dos nu, qui lui donne des airs de star de la Croisette en beaucoup plus salope.

En m’approchant d’elle, les Ray-Ban sur mes cheveux gominés, la chemise légèrement déboutonnée afin de révéler mes puissants pectoraux, je commence déjà à visualiser mentalement ce qu’elle va prendre.

Ses yeux bleus sont presque plus beaux que les miens. À quelques mètres d’elle, tandis qu’elle tombe sous mon charme « italiano », j’effleure érotiquement mes narines avec l’index et le pouce – un truc qui marche à tous les coups et dont je suis le seul à posséder le secret – et arbore mon sourire de séducteur qui a toujours fait mouche.

Je la vois se liquéfier, probablement en train de se demander si le beau gosse en face d’elle va l’aborder. Il me semble même que ses tétons pointent sous la robe, tellement je l’excite. J’imagine alors dans quel état doit être son string…

Après avoir fait chauffer ma carte de crédit une dizaine de fois, nous allons à l’hôtel. Une fois dans la chambre à 800 euros la nuit, Natalia a encore soif de champagne ! Je ne veux pas qu’elle soit trop bourrée car il faut qu’elle se souvienne qui est le roi du manche pour le raconter plus tard à ses copines.

À la moitié de la bouteille, je l’ai mise à poil et, à genoux entre mes ...