1. Au commencement, il y avait Natalia


    Datte: 14/02/2020, Catégories: fhh, fbi, nympho, laid(e)s, sales, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral fist, pénétratio, fsodo, coprolalie, Humour totalsexe, Auteur: Firenze-lover, Source: Revebebe

    ... propose qu’on finisse par une double pénétration anale pour voir si elle est à la hauteur de sa réputation. Avec nos deux énormes bites, elle risque de boiter un moment, ricane Ben.
    — Elle pourrait même s’asseoir sur un petit suisse sans l’écra…
    
    Un hurlement suivi d’insultes en bulgare interrompent notre conversation. Natalia crie et nous supplie de la rejoindre dans la salle de bains. Nous nous levons et nous dirigeons à l’étage où nous la découvrons nue, accroupie, un miroir sous le cul, examinant son petit trou. Dès qu’elle nous voie, elle se met à quatre pattes, nous exhibant son postérieur qu’elle écarte des deux mains afin de nous offrir en spectacle son œillet froncé.
    
    J’étais prêt à l’enculer sur le champ, mais ce qu’elle a dit a fait subitement retomber mon excitation :
    
    — Ton crado de voisin m’a collé une saloperie au cul. Regardez ! Y a un truc bizarre qui en sort. C’est à moitié jaune ou beige. En tout cas, ça a l’air dégoûtant. Vous voulez pas jeter un œil ?
    — À toi l’honneur Ben.
    — Nous ça va ! Je passe mon tour.
    — Allez les gars ! S’il vous plaît ! Après je vous fais une pipe de la mort à chacun.
    
    Elle se cambre et ouvre son sphincter en utilisant la technique dont elle seule a le secret. Ses index écartent son anus duquel coule le liquide dont elle vient de nous parler.
    
    — Je crois qu’on peut rien faire pour toi Natalia, lui explique calmement Ben. Tu dois voir un gynéco. Il est hors de question que nous batifolions si tu as choppé une ...
    ... saloperie.
    
    Pendant qu’elle se rhabille, nous finissons le café. Elle descend et nous annonce que le docteur Mancini, sa gynécologue, peut la prendre en urgence d’ici une demi-heure. Cela ne nous laisse pas beaucoup de temps, mais en appuyant sur le champignon de ma Ferrari, on devrait y être largement en avance.
    
    Nous nous garons dans un crissement de pneus devant une Seat Ibiza de pauvre dont le pare-chocs avant tient avec du fil de fer. Après trois regards plein de dédain envers le trentenaire qui sort de sa poubelle à roulette, nous traversons le parking et entrons dans le cabinet du docteur Mancini.
    
    La salle d’attente est bondée ! Des femmes s’entassent sur des chaises bien souvent trop petites pour leur derrière éléphantesque. Aucune n’est baisable ! De plus, la plupart transpire la misère humaine avec leur sac à main bon marché, leur parfum de piètre qualité, et leur tenue vestimentaire de supermarché. Sous le ton de la confidence, je ne peux m’empêcher de partager mes pensées avec Ben qui s’’esclaffe en m’approuvant.
    
    Natalia s’installe sur la seule chaise de libre, pile à côté du plus gros thon de la pièce. Le contraste est saisissant. La belle et la bête ! Nous sortons fumer une clope avec Ben et quand nous retournons dans la salle d’attente, Natalia n’est plus là.
    
    J’interroge le laideron qui m’indique avec sa main boudinée le cabinet du docteur Mancini. Monica Mancini est écrit sur une plaque métallique rivetée à la porte. Une italienne ! Miam ! Je l’imagine ...