Au commencement, il y avait Natalia - Histoires de Sexe

Au commencement, il y avait Natalia

... s’asseoir à genoux sur le fauteuil, cambrée à outrance, lui tendant ses fesses comme on agite un appât devant le nez d’une bête sauvage. Elle a cette grâce féline, lorsqu’elle est à quatre pattes, ondulant du fessier, les faisant vibrer comme ces bombes atomiques des clips de R’n’B. Robert tremble de partout en voyant le petit orifice plissé de notre petite chérie palpiter entre les deux monts blancs.

Natalia a cette faculté étonnante – cette grâce – de pouvoir dilater son anus presque à volonté. Amatrice de sodomie, elle a développé cette technique pour épargner à ses amants la pénible phase de préparation du terrain. Les yeux à moitié révulsés, elle se concentre, la respiration sifflante. Pendant ce temps-là, les palpitations de sa pastille prennent en ampleur. Au bout de deux minutes, elle bée purement et simplement devant Robert, dont le bout du chibre luit de fluide séminal.

— Vas-y, gros porc, encule-moi. Je sais que t’en crèves d’envie !

Tout se passe très vite. Il frotte à peine son gland contre la raie de Natalia, et crache la purée, une bonne demi-douzaine de giclées poisseuses. Il regarde en silence sa semence goutter du fessier de Natalia sur le fauteuil, puis remet son short avant de repartir, rouge de honte, en marmonnant des choses comme :

— Elle est complète cinglée, cette salope ! En plus, elle baise mal !

On ne peut pas lui en vouloir. Élevé par des parents prolétaires, ayant mené jusqu’à il y a peu une existence de glandeur certifié, il ...

... n’a pas su faire de sa vie ce que la fortune exigeait. Il est resté le peigne-zizi aux ongles sales qu’il a toujours été et restera à jamais, même s’il pourrait probablement racheter toutes mes parts chez Apple.

Il fantasmait sur Natalia, mais fantasmait quelque chose qu’il ne pouvait échanger avec elle : une relation fruste de puceau attardé. Natalia s’essuie avec une serviette en papier, puis Giacomo lui roule une pelle avant de lui demander :

— Alors, c’était comment ?
— Bof.
— C’est tout ?
— Bah oui, c’est tout. Et toi, tu as bandé, peut-être ?
— Non, c’est vrai.
— Mais j’ai toujours le feu au cul, je te signale.
— Ok, je vois…

Il se tourne vers moi. Nous avons la même idée : offrir à Natalia une belle double pénétration. Il lui claque les fesses :

— Allez, ma chérie, va te laver, tu es répugnante, comme ça. Nettoie bien partout, et attends-nous dans ma chambre, nous arrivons.
— D’accord, bébé.

Elle nous gratifie d’une pelle chacun et file en sautillant à l’intérieur. Giacomo se tourne vers moi :

— Tu aimes le ristretto ?

***

Nous sirotons le café pendant que Natalia « s’astique les orifices » comme nous le lui avons préconisé. Avec Robert, mieux vaut être prudent. On ne peut pas savoir où sa queue a traîné et il a quand même fourré le fion de notre bulgare. Ben, après avoir bu une gorgée de café, me demande :

— Tu préfères lui prendre quoi pour commencer ?
— Le cul. Robert a bien déblayé le terrain, dis-je en souriant.
— Entendu. Je te ...