Ce Beau Métier D'infirmière
Datte: 09/02/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byMyriam Brunot, Source: Literotica
... spectateurs qui ont toute liberté de leur tâter les seins, de leur pincer les tétons et de vérifier la fermeté de leurs jolies fesses rondes. Moyennant un modeste supplément, ils peuvent montent sur scène et enfiler les négresses qu'ils préfèrent.
Dans l'« Hommage à Pierre Louÿs », des « adolescentes » en robes plissées bleu marine et chemisiers blancs, et avec au cou de grandes croix de bois de « communiantes solennelles », récitent d'une voix suraigüe à une vielle nonne qui se masturbe à travers sa robe de toile grise des extraits du « Manuel de civilité » et de « Pybrac » (« Je n'aime pas à voir la suceuse gourmande/ Qui sirote le foutre ... »).
« La maman et la putain » (2) est directement inspirée par une cliente de mon cabinet d'infirmière : une femme d'âge mûr vient prendre rendez-vous pour son fils avec une jeune et jolie « masseuse naturiste ». C'est moi qui tient ce rôle. « Il est très timide, vous savez, et mon cœur se serre à entendre grincer son lit pendant des heures ... ». Le fils arrive à la scène suivante : 35 ans, habillé en chef scout avec une chemise à carreaux et un short beige très court qui montre des cuisses et des mollets poilus. Je lui explique comment il doit me caresser les seins sans les pétrir, me suçoter les tétons sans les mordre, me caresser les cuisses en les frôlant. Je le déshabille. Il est étonné que je le suce, et carrément dégouté quand je présente ma chatte à ses lèvres. Je le force à enfouir sa langue dans mon buisson noir et à ...
... me lécher vigoureusement. Je m'enfile sans peine dans le vagin son sexe bien raide. Il éjacule assez vite. Je cherche ensuite à ce qu'il me lèche pour me nettoyer les poils gluants de son sperme. Il quitte la scène tout nu, affolé et en criant « Maman ».
Dans « La visite médicale », je joue une doctoresse qui s'intéresse particulièrement aux organes génitaux des adolescents, garçons et filles, qu'elle examine.
Dans « La confession impudique », le confesseur d'une école religieuse de filles entend des récits tirés des écrits de Pierre Louÿs et racontés avec une tranquille impudeur. « Montre-moi comment tu as fais cela. C'est nécessaire pour te donner l'absolution. » Et il rejoue la scène avec la « pénitente » qui n'a pas l'air de se repentir et qui n'est que trop contente de faire une démonstration.
Epilogue.
La maladie m'a clouée au lit alors que je préparais « Femmes en lutte » : une joute sensuelle de deux corps huilés. Ce « combat » sans vainqueur devait opposer une femme bodybuiltée et une transexuelle non opérée. J'avais trouvé mes actrices, et elles avaient commencé les répétitions. Plus que d'une lutte, il s'agissait d'une danse au sol frénétique. Les immobilisations, rendues difficiles par l'huile, aboutissaient à des caresses et des baisers fougueux, à des masturbations vigoureuses et à de furieux orgasmes. A la fin, deux spectateurs tirés au sort devaient être invités à monter sur scène pour éteindre leur excitation.
Faites de beaux rêves après avoir ...