Ce Beau Métier D'infirmière
Datte: 09/02/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byMyriam Brunot, Source: Literotica
... T'en fait pas pour ça! [Rire entendu de Laurence ; j'ai su plus tard ce qu'il signifiait.]
- Quelle sotte! T'as de beaux seins bien fermes. Tu laisseras deux boutons ouverts et tu verras qu'ils banderont comme des ânes. 100 euros, c'est toujours bon à prendre.
Le lendemain, mes peloteurs ont recommencé. « Allons, soyez sérieux! » Ma résistance a été plus molle que la veille, surtout avec l'un d'eux, que je trouvais beau gosse. Il bandait bien droit sous le drap, comme le mât d'une tente. J'en ai eu un à faire pisser. Il avait les bras et les mains plâtrés, ainsi qu'une jambe. Un accident de moto qui aurait pu être gravissime, mais il avait son casque. Il avait du mal à marcher. Je lui tenais le pénis. Il respirait vite, collé à moi. Il bandait et ne pouvait pas pisser. Nous avons tous les deux ri de la situation. « Soyez sérieux, sinon vous n'y arriverez pas. » Je lui tenais la queue à pleine main. Il m'a chuchoté : « Avec vous, c'est difficile d'être sérieux, comme vous dites. » « Vous voulez que j'appelle un infirmier? » « Oh, non!», j'ai relâché ma pression et il a fini par pisser.
Laurence et Sylvie ont continué à m'informer des coutumes locales.
- Nos petits jeux n'intéressent pas les femmes. Pourtant, il y a forcément des lesbiennes, mais elles ne fantasment pas sur les infirmières. C'est bizarre.
- J'ai oublié de te dire, pour Gérard [un des brancardiers], un coup c'est 30 euros. D'abord parce qu'il gagne encore moins que nous, ensuite parce qu'il nous ...
... baise toutes les deux à peu près tous les jours et qu'il le fait très bien.
- Une demi-heure après Laurence, il est capable de m'enfiler et de me ramoner la chatte pendant un quart d'heure. Avec lui, t'es sûre de jouir au moins trois fois.
- Si t'es de garde avec lui une nuit où c'est calme, tu ne t'ennuieras pas!
J'ai fait comme elles. J'ai excité mes patients, je leur ai fait cracher du fric et du sperme. J'ai eu un jeune de 17 ans. Il regardait toute la journée des films pornographiques que lui apportait sa mère. Il me faisait pitié. « C'est con tout ça. Tu ne préfères pas du vrai? » J'ai serré son pénis bandé à travers le drap. Il a fait oui de la tête mais sa gorge était tellement nouée qu'il ne pouvait pas parler. « Aller, sois cool » et je lui ai donné un verre d'eau. Mon regard plongé dans le bleu profond de ses yeux, j'ai glissé ma main sous le drap. Son gland décalotté était déjà visqueux. Tout en me délectant de son attente crispée, j'ai lentement couvert ma main de salive. Sans le quitter des yeux et sans me presser, je lui ai fait son affaire et j'ai posé sur son front un baiser maternel. « Tu ne diras rien à ta mère! » « Non, non. » « Demain, ... » Juste un mot pour le plonger dans une attente fébrile et délicieuse. Bien sûr, je ne l'ai pas fait payer. Le plaisir était aussi pour moi. Le lendemain, il ne m'a rien demandé, mais son regard était lumineux d'espoir et d'impatience quand il m'a vu arrêter la télévision et m'approcher de son lit en me léchant ...