Ce Beau Métier D'infirmière
Datte: 09/02/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byMyriam Brunot, Source: Literotica
... Jésus-Christ et destinée à rassembler les douces brebis telles que vous en un vaste troupeau qui chantera les louanges du Christ? [Etc., pendant cinq minutes.] » J'ai failli éclater de rire : je serais donc sa « chère fille » (de joie?), une brebis égarée qu'il veut conserver pour ses menus plaisirs, à l'écart du « ruisseau infâme de la prostitution » mais dont il veut sauver l'âme. Mais ça aurait été dommage de perdre un client aussi amusant. Nous avons célébré au lit les beautés de la Vie offertes par son dieu. Je dois dire qu'il « bandait comme un carme », ainsi que l'on écrit dans les romans érotiques de la grande époque, et que j'ai eu grand plaisir à honorer « la Chair » avec lui.
Parmi les clients bizarres, j'en ai eu un qui se mettait en pyjama rayé noir et blanc de style Auschwitz et me demandait de mettre une casquette noire avec croix gammée. (Il me l'apportait, je n'ai pas cet article dans mes réserves). Vêtue (si l'on peut dire) d'un soutien-gorge et d'un string noirs, je devais le ligoter sur ma table de massage et le torturer au son de la chevauchée des Walkyries. Je devais lui planter un bistouri dans les cuisses. « Plus fort, plus profond » ordonnait-il. « Soyez terrible. » Je prenais un air impitoyable, je le faisais saigner copieusement. Après avoir enlevé ma casquette de tortionnaire, je léchais ses plaies, et pour finir, son gland violacé en pleine érection. Je n'aimais pas du tout ce scénario. Et cela m'a vite lassé de satisfaire des désirs aussi ...
... bizarres.
Chapitre 3 : Mon théâtre des fantasmes.
J'ai fermé mon cabinet pour ouvrir un micro-théâtre dénommé « Fantasmes sur Seine». Il ne pouvait accueillir que 9 spectateurs (et, à l'occasion, spectatrices). Le succès a vite été au rendez-vous, et les réservations devaient se prendre plusieurs semaines à l'avance.
Cela m'amusait beaucoup d'écrire les dialogues, de mettre en scène, de chercher des acteurs et même de jouer des rôles d'infirmière ou de femme dominatrice. Les titres de mes « pièces de théâtre » étaient explicites : «Un couvent de société», « La prison des femmes » ou bien « Le deuil joyeux de la virginité ».
« Sévères mathématiques » (1) a été un grand succès : deux « adolescentes » en minijupes écossaises qui leur couvrent tout juste les fesses sont surprises à se peloter et à se baisoter par leur professeure. Celle-ci est tout aussi court vêtue et dotée de gros seins siliconés qui risquent à tout instant de faire craquer son chemisier. Elle commence par se fâcher, mais séduite, elle donne aux deux « collégiennes » une dernière chance: elles doivent résoudre une équation du second degré. Elles n'y arrivent pas et reçoivent toutes les deux une fessée magistrale. Lorsque leurs fesses sont toute rouges, la prof décide de les consoler. La scène se termine par un joyeux trio lesbien et les mathématiques sont loin.
Dans « Le marché aux esclaves », de jeunes et jolies négresses, nues sauf des bijoux de pacotille, sont soumises à l'appréciation des ...