La naufragée - 1
Datte: 08/02/2020,
Catégories:
ffh,
couplus,
fépilée,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Gaspard, Source: Revebebe
... lâcher prise.
Puis elle éclate en sanglots, me dit qu’elle me doit la vie et fera tout ce que je voudrai pour me remercier. Alertée par ces pleurs, Marie se précipite vers Dorothée et, maternellement, l’entoure de ses bras et la serre contre sa poitrine, oubliant sa propre nudité.
C’est là que tout bascule : les larmes se sèchent, mais l’étreinte dure, la tête entre les seins de ma chérie, Dorothée se calme, puis à son tour, enlace la taille de Marie. Ses mains glissent sur les fesses bronzées, sur son ventre plat, puis ses doigts se perdent dans les fins fils d’or qui bouclent sur son sexe.
— Que vous êtes belle… dit-elle d’une petite voix encore entrecoupée de sanglots. Mais pardonnez-moi, vous vous promenez toujours toute nue dans les lieux publics ? Déjà ce matin à la douche, et puis ce soir, et puis votre mari aussi ?
Marie éclate d’un rire cristallin devant la naïveté de la question, puis lui explique le lieu où nous sommes : un centre naturiste, un endroit de liberté et de bien-être en accord avec la nature, mais aussi un endroit où règne une certaine sensualité qui n’est pas faite pour nous déplaire. Insensiblement, ses mains se glissent par le col du tee-shirt vers les seins de Dorothée et en commencent l’exploration.
— Tu n’es pas mal non plus, tu sais, mais si tu nous en montrais un peu plus, qu’en penses-tu ?
Juste un moment d’hésitation, puis d’un geste plein d’élégance, son vêtement passe par-dessus sa tête : voilà Dorothée toute nue, je ...
... ne suis pas voyeur, mais le spectacle me ravit. Des jambes interminables, des hanches de garçon, un ventre plat et musclé, des seins à réjouir un honnête homme et des épaules magnifiques sous son minois enfantin encore tout étonné de ce qu’elle venait d’oser.
Évidemment, comme ce doit être sa première expérience naturiste, de larges traces blanches soulignent ce qu’elle avait caché jusqu’ici ; une toison très brune et très fournie, tant au sexe qu’aux aisselles, tranche avec le corps presque lisse de Marie. D’autorité celle-ci proclame :
— Tu ne peux pas rester comme ça !
Elle saisit mon blaireau et mon savon à barbe et prépare une mousse crémeuse. Elle entraîne sa nouvelle amie sur une chaise longue et entreprend un rasage en règle, les aisselles d’abord, puis les poils du blaireau s’aventurent vers les grandes lèvres, arrachant des gémissements à sa victime consentante. En un instant, voilà Dorothée nantie seulement du traditionnel ticket de métro.
Un peu honteuse, elle se lève pour nous laisser juger du résultat, et là je suis formel :
— Les poils très noirs tranchent trop sur la peau laiteuse, il lui faut une épilation totale.
— OK, Gaspard, mais c’est toi qui me la fais, pas chiche !
— Comment, pas chiche ?
Je saisis le blaireau et entreprends de compléter la besogne de Marie, pas innocemment, je l’avoue. La douce brosse s’attarde bien trop longtemps, le rasoir glisse bien trop doucement et la crème adoucissante se perd dans les méandres du sexe de ...