1. La naufragée - 1


    Datte: 08/02/2020, Catégories: ffh, couplus, fépilée, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Gaspard, Source: Revebebe

    ... d’Eve, seulement vêtue de quelques poils blonds qui ornaient un pubis objet de tous ses soins : chaque matin, rasoir, crème moussante, le but étant de dégager au maximum les lèvres de son sexe, sans pour autant se « retrouver toute nue ». Le résultat était charmant, surtout quand elle prenait son bain de soleil au bord de la piscine du domaine, abandonnée aux rayons brûlants, et écartant nonchalamment les jambes afin que nul ne pût ignorer ses trésors.
    
    En cette fin d’après-midi, une température torride et un vent du sud chargé d’humidité marine laissent présager une soirée agitée : les orages cévenols qui éclatent quand l’air de Méditerranée se refroidit brusquement au contact des Cévennes sont souvent très violents, avec des cumuls de pluie impressionnants pouvant faire monter très rapidement les cours d’eau.
    
    La prudence est de règle, retour au bungalow ; au menu : tapenade, jambon de pays et rosé de la coopérative, plus le doux spectacle des imposantes et fermes mamelles de Gudrun, notre plantureuse et adorable voisine hollandaise avec qui nous partageons cet en-cas ; c’est une bien bonne soirée suivie d’un repli prudent dès les premiers éclairs. Bonjour la couette bien à l’abri de notre velum, une bonne nuit malgré le feu roulant du tonnerre.
    
    Au petit matin, Marie vient se lover contre moi pour se réchauffer ; à demi endormie, elle laisse pourtant mes doigts se diriger vers son sexe pour une douce masturbation. Son souffle s’accélère, ses hanches ondulent, elle ...
    ... jouit plusieurs fois, lance un grand soupir de contentement et se rendort… en toute simplicité.
    
    Adieu sommeil pour moi, mais qu’importe, le jour est levé, le soleil revenu et, bien chaussé, je me lance dans une grande balade, laissant ma tendre et lascive compagne se lover dans ses couvertures pour sommeiller encore.
    
    J’aime ces promenades matinales, il fait un peu frais et un léger souffle d’air glisse sur ma peau nue ; tout dort encore et les oiseaux se mettent à chanter. La vie est belle. J’arrive au bord de la rivière et j’avoue être impressionné : le flux est monté d’au moins deux mètres et écoule avec vacarme ses flots bouillonnants.
    
    Le spectacle est grandiose, mais tout à coup une inquiétude me prend : je vois à quelques mètres de la berge ce qui me paraît être les restes d’un kayak, coincés entre les rochers. Et tout à coup dominant à peine le bruit ambiant, j’entends :
    
    — Monsieur, monsieur aidez moi !
    
    Levant les yeux, je découvre une fine silhouette vêtue d’une combinaison de néoprène, réfugiée sur un rocher qui ne domine l’eau que de quelques centimètres. Je me précipite vers la bouée de secours, le filin est assez long, me semble-t-il, pour atteindre le rocher, et je tente le coup de la lancer vers le naufragé. Succès, il l’attrape, passe la bouée autour de son corps ; j’assure le filin à un arbre et lui dis de se laisser glisser dans l’eau.
    
    Les quelques mètres le séparant de la berge sont vite franchis, je hisse mon naufragé sur une zone sèche et, ...
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