Une flèche en plein coeur - Histoires de Sexe

Une flèche en plein coeur

... chaud, flexible. La peau était très douce. Un coup d’œil vers Max la rassura, et elle emprisonna le sexe dans sa main inexpérimentée. Aussitôt, le sexe remua dans sa paume, comme assoiffé de caresses. Max posa une main adroite sur les doigts malhabiles de Marie. Ils se regardèrent, puis de la main, le jeune homme guida celle de Marie dans une caresse de plus en plus virtuose ; le membre brûlait et grossissait dans la paume de Marie, qui se sentit presque mal. Elle avait du mal à respirer, rassasiant ses yeux de l’image de sa main en train de tourner autour du gland ferme. Maxime haletait au-dessus d’elle, mais ne disait rien. Ah ! Il l’attendait au tournant. Mais Marie ne flancherait pas.

À mesure que Marie se sentait de plus en plus excitée, ses doigts allaient et venaient frénétiquement autour du membre, qui gonflait à vue d’œil. Tout était d’une lenteur incroyable, interminable. Il lui semblait qu’elle s’escrimait sur la queue depuis des heures lorsqu’elle sentit soudain celle-ci pousser durement dans sa main. Maxime tremblait, les yeux baissés vers elle, sa main agitant spasmodiquement celle de Marie autour de sa queue.

À la vue du gland qui bandait si fort, Marie se sentit devenir moite, entre ses cuisses. Elle le regarda avidement, remarquant la peau élastique, qui bougeait telle une enveloppe de plastique entre ses doigts tremblants, notant la couleur rouge brique, l’aspect luisant et humide, sentant l’odeur forte de sperme et de transpiration. Les deux parties ...

... du gland semblèrent s’écarter, devenir encore plus grosses et brûlantes. La main de Maxime, sur la sienne, était implacable. Sentant approcher un dénouement, à l’énergie dépensée par Maxime pour activer le mouvement de ses doigts, elle cessa un instant de respirer. À son grand étonnement, Maxime poussa un gémissement sourd, puis soudain, arracha sa main de sa queue pour la reprendre lui-même entre ses propres doigts. Fascinée, elle le regarda faire. Les doigts de Max agrippèrent le bourgeon turgescent et moite, et le caressèrent si vite que Marie avait du mal à les suivre des yeux.

Elle était pétrifiée. Le désir l’envahissait, incontrôlable. Voir Maxime perdre la face, et se laisser aller devant elle lui fit ressentir une grande satisfaction. Cela la troublait aussi. Elle ne l’avait jamais vu ainsi, comme abandonné, sans ses barrières.

Soudain, Maxime se tendit comme un arc contre les coussins du divan, et les yeux fermés, cria un « Ââââââhhh » plutôt comique. Au même moment, Marie reçut un liquide poisseux sur sa joue et son pull. Elle regarda, consternée, les gouttes d’un liquide cristallin et gluant qui parsemaient son pull, puis reporta son attention sur le sexe que Maxime saisissait encore violemment. Un autre cri s’échappa de la bouche de l’homme, tandis qu’une explosion de liquide jaillissait de l’œil noir qui fixait Marie. Il y en avait partout.

Et tandis que Maxime récupérait, caressant mollement sa bite qui avait dégonflé, Marie flancha… et s’enfuit.

Il ...