Le chagrin de Ghislaine.
Datte: 07/02/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Alainylon, Source: Hds
... basse. Les cheveux blonds ramenés en chignon. Modelé avec délicatesse, le visage était très expressif. La bouche entrouverte lui donnait un air un peu canaille. Je l’ai observé sournoisement, alors qu’elle a porté sa coupe à ses lèvres et en vida d’un trait le contenue. J’ai sentis son trouble s’accroître. Pendant de longues minutes le silence ne fut troublé que par les reniflements de ma cousine. Sans m’en rendre compte j’ai déchaussé la poupée et de mon index je lui ai massé la plante du pied. Soudain j’ai réalisé que Ghislaine ne pleurait plus. Levant mes yeux, j‘ai surpris son regard sur ce que je faisais. De l’animation de mes doigts sur le plastique. Les yeux fixes, les lèvres légèrement entrouverte. Pas un mot n’était sorti de sa bouche.
Me prenant au jeu, j’ai fait disparaître mon index sous la belle robe blanche de la poupée. Lisant sa petite culotte que je devinais être au toucher, en nylon. Et tout ça sous les yeux captive de ma cousine. Comme je l‘aurai fait sans aucun doute avec une partenaire, j’ai tiré la culotte vers le bas. La laissant choir à ses chevilles. Avant d’enfuit le doigt sous la robe. Massant énergiquement la fourche malléable, alors que la culotte tomba à mes pieds. Il régnait dans la pièce un silence minéral.
Après m’être assuré d’un coup d’œil, qu’elle m’épiait toujours, j’ai fait glissé mon doigt le long de la cuisse rigide jusqu’à son petit pied nu. Puis je me suis penché, pour attraper la petite culotte. Comme je l’aurais fait avec ...
... celle d’une grande poupée vivante, je l’ai porté à mes narines toujours sous les yeux éberlués de ma cousine. De plus en plus médusée. À ce laissé aller. Écartant sans en prendre conscience ses jambes. Tout en haut des cuisses blanches, le triangle de nylon transparent moulait étroitement son pubis proéminent. Aplatie par la culotte du collant. La toison formait une tache sombre.
Déconcerté par un tel spectacle, j‘en ai lâché le petit bout de tissu de mes doigts sous les yeux témoins de ma cousine. Pour donner plus d’abondance à ma perversion, j’ai ôté délicatement le corsage de la figurine. Exhibant des seins identiques. D’une caresse circulaire du même index, je me mis à masser le sein droit, puis le gauche. La poitrine de ma cousine s’est soulevée à un rythme précipité. Il m’a même semblé que la coquine avait les pointes des seins plus grosses, plus bandant que la minute auparavant.
Envoûtée par mon geste, elle se mit à gémir, et à pousser à petits cris. Les yeux fous. Elle était en transe. Étonnante télépathie érotique. Pris au jeu, j’ai retroussé la robe de soirée de la figurine, pour lui masser la fourche. Contre toute attente, Ghislaine a laissé échapper un gémissement continu. Créant de sa bouche un doublage son à la pauvre poupée. Puis sans un mot, lasse sans doute de se qui se dérouler sous ses yeux, elle a sauté sur ses pieds, et quitta la pièce. Son absence s’éternisant, je n’ai pus résisté d’aller aux nouvelles. Je l’ai trouvé dans la cuisine devant la fenêtre ...