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Le chagrin de Ghislaine.
Datte: 07/02/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds
... en train de nouveau pleurer. Je l’ai alors prise dans mes bras. Elle a posé sa tête sur mon épaule en sanglotant. D’une main, je la serrais contre moi et de l’autre, je me suis saisis du rouleau d’essuie tout, que je lui ai tendu. Elle m’a souri et m’a remerciée. Puis s’écartant de moi, elle s’est mouchée bruyamment. Ça a fait un tel bruit que cela à déclencher le chant de l’oiseau en jouet posé sur le frigo. On s’est regardé et on a éclaté de rire. - Et moi qui t’ennui avec mes histoires. En finissant sa phrase, elle a caressé mes cheveux. Je ne sais pourquoi. J’ai ça sur l’excitation. Je me suis saisi de sa main et je l’ai embrassé. Elle n’a pas essuyé de la reprendre. Alors, j’ai sucé ses doigts l’un après l’autre. Comme je l’aurais fait avec des bites. Tout en la défiant du regard. Elle a posé ses lèvres sur ma joue. M’a fait une bise. Puis lentement sa bouche à glisser jusqu’à la mienne. Je l’ai serré contre moi et nous nous sommes embrassés presque violemment. Quand elle s’est écarté ce fut pour me dire : - Je… je crois que je vais me trouver mal. Ghislaine s’est affaissée sur une chaise toute proche. La tête renversée en arrière, les cuisses largement écarté. Je l‘ai attrapé comme j‘ai pu. Elle a ouvert les yeux. Papillotant des paupières, l’air ahuri. - C’est…c’est idiot, balbutia-t-elle. Peux-tu m’emmené jusqu’à la chambre. - Je veux bien ! Mais c’est où ? - Dans le couloir la deuxième à droite. Je l’ai déposé sur son lit. - Tu serais ...
... gentil de m’amener un verre d’eau s’il te plaît ! À mon retour Ghislaine s’était assise. Sa robe a glissé sur une épaule, dévoilant presque entièrement son soutien-gorge. Et s‘est retroussée très haut au-dessus des genoux. Je me suis absorbé du spectacle qu’elle m’offrait. Incapable de me résonner, j’ai posé le verre d’eau sur la table de nuit et je me suis saisi de son mollet. Délicatement, je lui ai ôté son escarpin vernis. Immédiatement une odeur chaude de pied a piqué mes narines. Je lui ai massé tendrement la voûte plantaire moite de sueur. Je ne pus me retenir d’y poser ma langue dessus. Ce fut une explosion de saveurs sur mes papilles. J’ai recueillis la sueur salées qui imbibait le nylon trop longtemps macéré dans sa prison de cuir. J’ai encaissé la senteur de la texture râpeuse sur ma langue. Après avoir déchaussé son second pied, j’ai empoigné les deux mollets, que j’ai fait glisser vers le haut. Jusqu’à ce que ses genoux soient au contact de sa poitrine. Je me suis délecté de ce que j’avais devant les yeux. L’empiècement étroit du collant s’est incrusté entre les bourrelets de la fente. Il y avait aussi une auréole humide qui faisait négliger au centre du nylon. Il m’en a fallut pas moins pour enfouir mon visage à cet endroit précis. Voracement, j’ai mâchouillé le tissu souillée. M’enivrant de l’odeur forte qui son dégager. Un peu aigre, presque écœurante. J’ai plaqué mes lèvres de l’excroissance de chair qui dardait à travers la texture. Un goût acidulé a ...