Histoire banale
Datte: 04/02/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
inconnu,
hotel,
voyage,
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
confession,
Auteur: VincenLise, Source: Revebebe
... oui.
Je vais me rebeller mais le visiteur est déjà en train de se déshabiller alors que mon Russe me propose un nouveau verre pour trinquer avec le nouveau venu. Lui-même boit directement à la bouteille. Quelle santé !
N’importe quelle femme honnête aurait mis ces deux hommes à la porte. Mais suis-je encore une femme honnête ? En tout cas, déjà plus une femme fidèle ! Et, mettons cela sur l’alcool, maintenant que j’ai franchi le pas, un peu plus ou un peu moins, personne ne saura. De toute façon, il est trop tard. Le nouveau est là. Et bien là. Sa verge parle pour lui. Déjà bien tendue. Déjà si proche de moi qu’il suffirait que je tende la main…
« Pourquoi la main ? Pourquoi pas les deux ? » Une qui masse la tige, tire sur la peau pour recouvrir puis dégager le gland pendant que l’autre palpe les bourses poilues. Manifestement, la mode du « sans poils » n’a pas franchi la frontière de l’Est. Cela donne un côté plus viril, plus « homme des forêts » que les sexes imberbes de chez nous.
L’homme des bois ne se satisfait pas de ces quelques caresses. Il veut plus. Peut-être a-t-il rêvé des Françaises expertes qui savent donner du plaisir ?
Ses mains emprisonnent ma tête et, d’une traction, amènent ma bouche vers sa verge. Nulle violence. Juste un souhait formulé comme tant d’hommes avant lui. Il est si facile de le satisfaire.
Il frissonne lorsque ma langue touche le gland pour un premier contact. Sa queue frémit lorsque ma bouche aspire le champignon de chair. ...
... Il sent bon, la fraîcheur du savon d’une toilette récente. Un instant je le regrette. J’aime l’odeur de mon Éric pas seulement après la douche, mais aussi lorsque sa queue sent « l’homme ». Pas vous ?
Il se cambre pour m’apporter son cadeau au plus près. Il a compris que ce n’était pas nécessaire de me guider et que je trouverais bien le chemin toute seule.
« Ah, les Françaises, elles sucent divinement. » Voilà ce que je voudrais qu’il puisse raconter en rentrant chez lui. Son bâton est ma sucette que je lèche tout le long jusqu’à ce que les bourses trouvent le chemin de ma bouche où je les gobe entièrement l’une après l’autre.
Son compagnon n’est pas immobile. Assis à côté de moi, il assiste à ma prestation mais, en amant confirmé, il me caresse les seins et la chatte pour raviver le feu en moi. Lui aussi n’est pas maladroit avec sa bouche en me suçant les tétons.
La température monte dans la pièce. Une queue entre les lèvres, l’autre dans la main, je suis une femme presque comblée. Je suis chaude à brûler. Ma fente coule. J’ai envie qu’ils me prennent.
Mon nouvel amant semble comprendre mes envies. Il reprend son bien et s’allonge. D’un geste de la main, il me montre ce qu’il attend de moi. Tête-bêche ! 69 ! Comment appelle-t-on cette position en Russie? Sa langue envahit ma fente. Ma bouche pompe son dard. Je ne connais pas de position plus égalitaire, marxiste… mieux, communiste, où chacun rend à son voisin tout le bien qu’il vous fait.
« Elles pompent ...