1. Histoire banale


    Datte: 04/02/2020, Catégories: fh, fhh, inconnu, hotel, voyage, Oral 69, préservati, pénétratio, confession, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    « M… ! Je me suis endormie ! » Il est 21 h passées et c’est trop tard pour sortir dîner. Voilà ce que c’est que de s’allonger après la douche ! Si ces crétins de ma boîte n’avaient pas fait du zèle et me reléguer dans un hôtel de banlieue, trois étoiles malgré tout, mais loin de tout pour qui n’est pas motorisé, cette heure tardive ne serait pas un handicap.
    
    Le restaurant de l’hôtel est peut-être encore ouvert. Le temps d’enfiler une robe et je descends.
    
    Trop tard. On me dirige vers le bar où quelques sandwiches me sont proposés. Ouf. J’ai la dalle !
    
    Ma semaine de formation se termine. Enfin ! Intéressante, mais huit jours loin de chez moi, je n’ai pas l’habitude. Mon copain non plus d’ailleurs. J’espère qu’il a été sage. Huit jours sans faire l’amour, cela fait une éternité que cela ne m’était pas arrivé. Demain, à la même heure, il devrait avoir réussi à éteindre le feu que j’ai en moi. Je prends le train et il doit venir me chercher à la gare. Nul doute que nous fassions un arrêt dans la nature, pour un premier contact, avant de rejoindre notre appartement dans un petit village près de Saint-Jean-du-Gard.
    
    À mon deuxième sandwich, je commence à regarder autour de moi. Pas foule ! Quelques couples, pas tout jeunes. Encore des retraités qui profitent des tarifs du week-end pour envahir les hôtels de cette catégorie. Une table d’hommes sirotant ce que je devine être de la vodka et qui parlent russe. Enfin, je crois ! Je ne suis pas douée pour les langues, et mon ...
    ... copain vous dirait qu’il préfère que je réserve ma langue à un usage bien particulier et ne pas la disperser pour les langues étrangères. Le coquin. Rien que de l’imaginer, je me sens « toute chose ».
    
    La table des Russes est juste à côté et, de mon tabouret, je les domine. Celui qui est en face de moi n’arrête pas de me sourire, et j’imagine qu’il parle de moi à ses amis car tous se retournent pour me regarder. Quel sans-gêne ! Aucune éducation ! Je fais mine de regarder ailleurs, feignant l’indifférence.
    
    Un regard plus tard, les Russes sont partis. Tous sauf un. Le même, celui qui est en face et qui continue de me sourire béatement. Nous, les femmes, hésitons toujours entre le harcèlement et le plaisir d’être admirée. Cet homme, pas si mal d’ailleurs, peut être identifié soit comme un lourdaud qui exaspère, soit comme un admirateur qui sait reconnaître votre beauté et votre féminité.
    
    Féminité ! Vous avez dit « féminité » ? M… ! J’ai oublié de mettre une culotte. Dans ma précipitation, j’ai passé ma robe directement sur la peau, sans rien d’autre. J’étais tellement pressée d’aller manger ! Quelle gourde ! À ma décharge, il m’arrive de me balader sans culotte et sans soutif. Mon copain adore. Mais c’est en vacances ou en week-end ! Pas au boulot, je ne suis pas une allumeuse !
    
    Je comprends maintenant son sourire béat. Le rustre a une vue directe sur ma chatte. Heureusement que les lumières sont tamisées !
    
    Il lève son verre à ma santé ! Je vais lui claquer son bec, ...
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