Histoire banale
Datte: 04/02/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
inconnu,
hotel,
voyage,
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
confession,
Auteur: VincenLise, Source: Revebebe
... envie retenue qui se libère et distille le nectar du plaisir.
Drin… Drin… Le téléphone sonne, réveillant subitement les ombres de la pièce. C’est mon portable, dans mon sac, encore à mon épaule.
Mon envahisseur me soulève et de ses bras puissants m’entraîne pour s’effondrer avec moi sur le lit. Pas un instant sa queue n’a libéré ma chatte, cheville irrémédiablement soudée en moi. Il ne bouge plus, c’est moi qui décroche mon téléphone.
— Oui ?
— Salut, mon minou ; tu vas bien ?
C’est Éric, mon compagnon.
— Oui.
— C’est tout ? Eh bien cache ta joie ! Cela ne va pas ? Un souci ?
Il fait sombre mais son visage est juste là, en face de moi, me regardant, les yeux dans les miens et alors il reprend son mouvement en moi.
— Julie ? Julie, tu es là ? insiste Éric.
J’essaie de me ressaisir et de me concentrer sur la conversation. Mais c’est difficile, si difficile avec ce regard qui me perce et ce membre qui va en moi.
— Oui, oui. Je suis là. Juste un problème de batterie.
— Je vais t’appeler sur le fixe. Donne-moi le numéro.
— Allô, allô, je n’entends plus. Je te rappelle demain.
Et je coupe. J’ai honte. Jamais je n’aurais pensé être capable d’une telle tromperie.
Mon Russe sourit. Il a compris ce que j’ai fait. Il a compris que j’ai menti pour lui. Il s’active doucement en moi, profondément, sans à-coups, guettant mes réactions.
C’est bon. C’est bon.
Je l’enlace à nouveau avec mes jambes, le tenant prisonnier entre mes cuisses. Ma main ...
... cherche sa peau et je dégrafe sa chemise pour faire apparaître une toison blonde sur le torse. Je m’y égare, découverte surprenante et soyeuse, bien loin du torse imberbe de mon compagnon. Il apprécie cette simple caresse et tout en continuant à me besogner, il tire sur ma robe pour me laisser nue sous lui. Sa main explore ma lourde poitrine, traçant des sillons de chair de poule.
C’est bon. C’est bon.
Ses mouvements se font plus rapides. Mais subitement il me laisse, m’abandonnant sur le lit, alors qu’il fait tomber pantalon et slip. Pour la première fois je vois le membre qui me baise. Je comprends qu’il me comble par sa longueur et sa taille. Le latex, couleur chair, de la capote donne un côté brillant que mes secrétions ne font qu’amplifier.
D’un geste, il me demande de me tourner. À quatre pattes sur le lit, ses mains me soulèvent pour me tirer sur le bord. D’un coup, sa queue retrouve le chemin de ma chatte, mais maintenant le tempo change. Du jazz, il passe au rock puis au country. Chaque avancée est accompagnée d’un « Han ! » de bûcheron et je l’accompagne dans sa mélodie. Ses mains agrippent mes hanches avec brutalité, me tirant à lui autant que lui s’avance. Le choc des chairs accompagne le délicieux « floc-floc » du piston dans mon conduit maintenant dilaté et ruisselant.
Longtemps il me besogne, me procurant un orgasme fulgurant et libérateur pendant que je sens sa queue gonfler encore avant de cracher son jus dans le ballonnet de la capote.
Quelques ...