1. histoire dun couple algerine


    Datte: 02/02/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: raoulusa, Source: xHamster

    ... dans les yeux en disant : Tamtuut-ik d lqahba
    
    n wa3ravec a nadir, akka i dirgaze nagh !!! Tefkam tilawin nwenn iwa3raven aten
    
    tteqqun…. D netta i d argaz-iw tura a cmata a l3ar n yergazen. À chaque expiration, un
    
    petit son plaintif et parfois un « oui » murmuré. Quand son plaisir montait, des
    
    gémissements brefs accompagnaient le rythme jusqu’à un plainte continue annonçant son
    
    orgasme couronné d’une longue plainte aiguë, accompagnée de spasmes et de tremblements
    
    de son menton. Elle préférait de loin la position du missionnaire, lui permettant son
    
    jeu favori d’embrasser à pleine bouche. En levrette, elle lançait souvent une main
    
    cherchant à toucher celles posées sur ses flancs ou ses hanches.
    
    J’aimais la prendre ensuite, souillée, et laissait la place à Henri quand il en
    
    voulait encore. Elodie était aux anges : être prise ainsi plusieurs fois de suite lui
    
    procurait des orgasmes à répétition : Ferragh fi kerchi Abdelkader, rekkeb-li ldjouf
    
    ou radjli ichouf…. La serviette était parfois à tordre et… nous ne payions plus de
    
    loyer. Après trois mois de chômage, elle retrouva un emploi de comptable, bien payé,
    
    dans un grande entreprise nationale. Notre vie sexuelle ne s’assagit pas pour autant.
    
    Ce qu’elle ne pouvait plus faire le matin, elle le refaisait au moins deux soirs par
    
    semaine, parfois avec nous deux, à la file. Akila n’avait pourtant pas changé. Elle
    
    restait cette adorable épouse, tendre, affectueuse, complice, pleine ...
    ... d’humour et
    
    adorant le mien.
    
    C’est alors qu’un soir où exceptionnellement elle avait repoussé Abdelkader venus nous
    
    rejoindre dès notre arrivée en lui demandant de nous laisser seuls, elle me reparla de
    
    son oncle… J’ai eu un pincement au cœur, une bouffée de jalousie. Il l’avait contactée
    
    par téléphone, l’avait invitée à passer seule un week-end chez lui à Boukhalfa, 11 km
    
    avant d’arriver à Tizi Ouzou, disant se sentant seul surtout depuis la mort de la
    
    tante de Akila Nana Ldjo, pourtant si gentille. Elodie m’avoua avoir été vivement
    
    excitée par cet appel mais avoir été très déçu par les propos qu’il lui avait tenus à
    
    mon endroit. S’il avait envie d’elle, il jouissait surtout par avance de me cocufier,
    
    disant que je ne la méritais pas, qu’ils allaient s’éclater dans mon dos alors que je
    
    resterais seul chez nous, et d’autres méchancetés. Elle avait failli lui répondre que
    
    j’étais un cocu heureux et excité, mais se reprit. C’était trop personnel et chez nous
    
    les Kabyles c’est presque une question de vie ou de mort. Elle avait conscience qu’il
    
    me voulait du mal et quand on veut détruire un homme, chez nous, on lui prend sa
    
    femme. Et cela a cassé son désir, en même temps que ça l’a excité. Elle déclina
    
    l’invitation en lui disant qu’il n’avait pas honte de draguer sa nièce, que si son
    
    papa le savait il le tuerait et puis c’était trop tard, qu’il aurait dû le lui
    
    proposer avant son mariage, et qu’elle m’adorait. Puis elle m’embrassa ...