histoire dun couple algerine
Datte: 02/02/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: raoulusa, Source: xHamster
... encore au lit, nue, une
énorme tache s’étalant sur le drap entre ses cuisses ouvertes et me tendait les bras.
Son sexe velu, sa belle toison noire était totalement engluée d’un sperme épais qui
continuait lentement à s’échapper d’entre ses lèvres. Même dans les films X, je
n’avais jamais vu ça. Cela aurait dû me dégoûter, mais c’était là le même cadeau que
j’avais fait lundi matin à Abdelkader, que cela n’avait visiblement pas gêné. Ça m’a
violemment excité. Je me suis allongé sur elle, nous nous sommes longuement câlinés,
puis je l’ai fait parler pour faire taire cette angoisse stupide qui à nouveau
m’envahissait et affectait mon érection. Enfin, n’en pouvant plus, je l’ai pénétrée,
souillée, inondée et l’ai pistonnée comme un fou. Elle gémissait vivement, ses doux
gémissements émis au rythme du bruit de clapotis que faisait mon membre dans son vagin
plein de sperme. J’y ai ajouté le mien, puis suis allé me doucher, en proie à ces vifs
sentiments paradoxaux qui ne m’ont pas vraiment quitté de la semaine.
Akila m’a fait rire en m’exhibant en fin de semaine l’épaisse serviette qu’elle
n’oubliait plus d’utiliser pour mettre sous elle, pour éviter de changer chaque jour
les draps, toujours son sens pratique. Elle est vite devenue la « serviette
d’Abdelkader ».
Je n’ai vu Abdelkader que le Vendredi matin suivant, en lui rendant visite. Un peu
inquiet de m’apercevoir en ouvrant sa porte, je l’ai rassuré d’un sourire et lui ...
... ai
dit que j’allais faire un peu de vélo, pour m’entretenir, jusqu’à midi. Je ne l’ai pas
regardé dans les yeux, je ne pouvais pas. Dès lors, il ne se cacha plus, ne se gêna
plus. Elle eut ses règles et se refusa à l’un comme à l’autre, comme d’habitude, pour
se ratt****r ensuite avec ferveur. Elle aimait ça, ne s’en cachait pas, et convainquit
Abdelkader, réticent au départ, de me laisser parfois les regarder quand vraiment j’en
avais envie. Ce fut plus torride que tout ce que j’avais imaginé. Ma belle petite
jeune femme nue contre cet homme un peu ventru, bien conservé à part cela, aux
étonnantes couilles velues pendantes qui produisaient en quantité industrielle un
sperme épais que le vagin étroit de Akila, saturé, expulsait rapidement et
abondamment, et qui se répandait sur la serviette sous ses fesses. Elle était excitée,
jouissait à répétition, bien plus qu’avec moi je devais bien me l’avouer. J’étais
fasciné par son sexe pénétré, ses lèvres velues dessinant un O autour de la grosse
bite d’Abdelkader dont les grosses couilles balançaient lourdement sous lui. Il l’a
baisait en me disant : Chouh yal 3attay, chouf kifach erdjal inikoulek mertak ya
ettahan. Tous mes sens étaient à la fête, la vue bien sûr, même l’odeur si
délicieusement musquée de l’amour, et plus encore l’ouïe enchantée par les sons
qu’elle produisait en faisant l’amour : elle respirait fort, bruyamment au rythme où
on la prenait. Akila me regardait droit ...