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histoire dun couple algerine
Datte: 02/02/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: raoulusa, Source: xHamster
Lorsque je croise un couple dont l’homme est nettement plus mûr que la femme l’accompagnant, je ne peux m’empêcher de penser à notre première année de mariage datant d’un peu plus trois ans, en décembre 2001, lorsqu’Akila et moi Nadir avions emménagé dans un petit appartement intégré dans une maison individuelle, à Alger. Le propriétaire, un veuf de 51 ans, fut d’abord très réservé lorsque j’avais visité l’appartement qu’il proposait en location car il exigeait des ressources financières élevées, alors que Akila et moi, bien que très correctement diplômés, gagnions encore peu à l’époque où chacun débutait. J’avais insisté en lui promettant un règlement régulier et lui demandais d’être sympa pour un couple de jeunes mariés. Il a répondu qu’il faudrait que la jeune mariée soit très jolie pour qu’il accepte de nous le louer. Je me doutais bien qu’un veuf relativement âgé, même s’il portait beau, était du genre vieux cochon, et je savais Akila si belle qu’il ne pourrait qu’accepter. Après tout, me disais-je, si cela lui fait du bien de regarder ma belle épouse, il n’y avait pas de mal à cela, même si chez nous "Haramat" de reluquer la femme d'un autre. Akila que j’avais mise au courant s’était offusquée, dans un premier lieu puis devant l'urgence qu'oblige notre réalité elle baissa les yeux. Elle s'est habillée en courte jupe sous son manteau pour la visite du logement. Abdelkader, c’est ainsi qu’il s’appelait cet ancien ...
... serviteur de l'Etat algérien, avait été subjugué et nous avons signé le bail. La vue des jolies cuisses de ma petite femme qui avait enlevé son manteau, ayant produit son effet. Il s’était montré discret au début et nous avons vécu là avec Akila la folie des premières semaines d’un mariage pétillant. Nous faisions l’amour comme des fous, jusqu’à épuisement. Elle découvrait vraiment le sexe, après nos trois années d’étude trop studieuses et surtout les interdits de la société algérienne en la matière. Elle aimait cela et était toujours partante et m’excitait violemment car elle ne parlait que de cela, de vive voix, sur nos portables ou dans ses SMS. J’aimais la masturber et on délirait sur des folies, des fantasmes tout en s’adonnant sans retenue à notre occupation favorite. Elle entrait dans mon jeu en se disant être ma petite putain personnelle, prête à tout. Puis une fois nous avons repris nos esprits elle rougissait de honte pour les mots qu'elle venait de prononcer. Petit à petit, Abdelkader se fit plus présent, venant nous saluer le soir en nous apportant notre courrier, discutant un peu autour d’un café. Il n’avait d’yeux que pour elle et cette adorable coquine adorait me piquer en s’habillant courte dès qu’elle rentrait du travail, pour le recevoir craquante à souhait. Il ne cessait de la complimenter, puis s’enhardit en plaisantant qu’en cas de difficultés de paiement de notre loyer, il se payerait en nature sur elle, ...