histoire dun couple algerine
Datte: 02/02/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: raoulusa, Source: xHamster
... l’entendra-t-il de cette oreille ?
__C’est moi qui te possède pour l’instant.
__Je sais mon cœur, enfin, quand je dis je sais je n’oublie de me poser la question
suivante : Ne t’as-t-il pas dépossédé, en partie, de ton épouse ? Les Arabes sont
ainsi faits mon amour, ils arrivent en locataire et ils finissent propriétaires des
lieux. Je pense que c’est notre destiné à nous les Kabyles. Ils nous ont dépossédés de
notre langue, notre culture et je ne crois pas qu’ils s’arrêteront là. Beaucoup de
psychologue indiquent que l’acceptation de la défaite est un apaisement. Ce n’est pas
pour rien que je te demandais de baisser les yeux quand tu rencontreras Abdelkader.
— Tu pars avec moi au travail demain ?
Elle se recula, bras tendus autour de mon cou.
— J’ai rendez-vous demain après-midi pour un entretien. Si tu le veux toujours, je
resterai demain matin ici…
— C’est lui qui viendra, ou toi qui iras ? Demandai-je la gorge nouée.
— Chéri… c’est toi qui as dit que tu voulais ça dans nos draps, mais si tu préfères…
— Non, c’est très bien ! Dis-je en l’interrompant. Si tu as envie comme ça c’est le
principal. Dis-moi, toi, des mots crus s’il te plaît, j’en ai besoin, là, maintenant…
dis-moi que tu es une salope…
C’est à ce moment que j’ai remarqué que son chemisier était taché. Cela m’a fouetté,
et a définitivement dissipé toute cette angoisse paradoxale qui étouffait une fois
encore mon excitation. Je l’ai prise le soir, et ...
... surtout le matin avant de partir.
Elle allait juste après faire l’amour avec Abdelkader qui piaffait d’impatience en
attendant de prendre ma place toute chaude, le salaud, l’Arabe. Il va prendre ma
femme. C’est moi qui l’ai épousé et c’est lui qui va la niquer. Et je voulais qu’elle
garde les traces de moi. C’était stupide, mais je l’ai voulu comme ça.
Ce fut la semaine la plus étrange de ma vie. Je vivais un peu cela comme un rêve.
Akila a reçu Abdelkader chaque matin, et deux après-midi juste avant que je ne rentre.
Moi qui croyais qu’à partir de quarante ans on ne pouvait plus souvent ! Chaque midi,
elle me téléphonait et me racontait ce que je voulais qu’elle raconte, pudiquement ou
crûment selon mon degré d’excitation, c’est moi qui décidais.
Le lundi soir, elle était venue me chercher au travail après son entretien. Elle m’a
serrée fortement et j’ai éprouvé un sentiment très étrange de sentir ce corps si connu
et si adoré, que je savais avoir été possédé le matin même, pour la première fois, par
un quinquagénaire viril qui l’avait souillée. Elle serrait tendrement son cocu de mari
et j’ai eu terriblement envie d’elle.
Le plus bizarre fut le premier soir où je rentrai juste après qu’Abdelkader ait
regagné son appartement. Il m’évitait en disant à Akila : « je ne veux pas rencontrer
le tahan pour l’instant ». Pourtant elle lui avait dit que j’étais d’accord et que
cela m’excitait qu’elle me fasse cocu avec lui. Elle était ...