Aurélie 6
Datte: 30/01/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Grandpervers, Source: xHamster
... puis-je vous poser quelques questions ?
Bien sûr, répondit Véronique, que voulez-vous savoir ?
Mon épouse serait éventuellement attirée par la soumission et aimerait avoir des renseignements sur cette pratique. Et comme vous semblez vous y connaître…
Accepteriez-vous de venir prendre l’apéritif à la maison, demanda la femme, comme cela, nous pourrions parler plus librement.
D’accord, déclara ma maîtresse, nous allons loin ?
Non, répondit l’homme, c’est à cinq minutes d’ici.
Allez, rhabille-toi m’ordonna ma maîtresse.
Je repassai ma robe et nous prîmes notre voiture, suivant nos hôtes jusque chez eux. Ils habitaient un petit pavillon coquet qui respirait le bien-être. Le couple semblait à l’aise financièrement. Nous entrâmes dans le salon et ils nous invitèrent à nous asseoir. Véronique se positionna dans un fauteuil en cuir moelleux et je vins m’agenouiller à ses côtés, cuisses écartées, mains derrière la nuque, tête baissée. Le couple s’assit sur le divan, nous faisant face. Je savais qu’ils avaient un vue complète sur mon sexe découvert. Après avoir servi l’apéritif, auquel je n’avais pas droit, les questions commencèrent :
Comment devient-on une soumise, demanda la femme.
Répond, Cybèle, ordonna ma maîtresse.
Il n’y a pas de façon particulière, madame, répondis-je. Moi, c’est à la suite de la perte de mon travail. Je me suis sentie inutile. Il faut dire que je n’étais pas douée, que ce soit en amour ou en cuisine, par ...
... exemple. Mon compagnon a commencé à me rabaisser et m’humilier et j’ai apprécié. Je me suis soumise à lui. Ensuite, comme il a dû partir à l’étranger, il m’a laissé entre les mains de sa nouvelle compagne, qui est devenue ma maîtresse.
Il faut dire, renchérit ma maîtresse, qu’avant, Cybèle était ma supérieure hiérarchique. Elle me traitait de haut, ainsi que tous ses subordonnés. Par vengeance, je lui ai piqué son compagnon et j’ai fait d’elle mon esclave. N’est-ce pas, Cybèle ?
Oui maîtresse, c’est tout à fait exact !
Et vous ne le regrettez pas ? demanda la femme.
Non, madame.
Oh, vous pouvez m’appeler Elise.
Certainement pas, rétorqua Véronique. Une esclave n’a le droit qu’à quelques mots pour parler à quelqu’un : maître, maîtresse, monsieur ou madame. Aucun prénom, aucune familiarité. c’est indispensable. L’esclave n’est rien. Il n’a aucun droit, sinon celui de servir son maître, sa maîtresse ou quel qu’autre personne désignée par lui ou elle.
Et cette position ? demanda l’homme en me désignant.
C’est la position d’attente la plus courante. Il existe des variantes, plus ou moins dure pour l’esclave. Tout d’abord la position à genoux peut être, talons aux fesses ou bien droit, les cuisses à angle droit par rapport aux mollets. Ensuite les mains et les bras, deux possibilités, les mains derrière la nuque ou bras croisés dans le dos. Vous pouvez imaginer ce que donne une position à genoux, bien droit, les mains derrière la tête. Un esclave ...