1. Aurélie 6


    Datte: 30/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Grandpervers, Source: xHamster

    ... baissée. Par contre, de cette façon, j’avais une vision parfaite sur la bosse qui déformait son cycliste. Ses doigts enserraient maintenant mon clitoris et le titillaient en douceur. Je sentis le plaisir monter en moi, l’humiliation d’être ainsi exhibée, tripotée ajoutait encore à la caresse précise. J’entendis l’homme demander à ma maîtresse :
    
     On peut la baiser ?
    
     Répond, Cybèle !
    
     Oui monsieur. Vous pouvez me baiser, m’enculer, me faire tailler une pipe, comme il vous plaira.
    
     D’accord, je veux te baiser. Prépare-toi !
    
     Retire ta robe, Cybèle, m’intima ma maîtresse.
    
    Plusieurs personnes ne purent retenir des petits cris de surprise lorsque je me présentai, nue devant eux. Les marbrures de mon ventre, de mon dos et de mes fesses les laissaient ébahis. Je me rassis sur la table et attendit que l’homme qui voulait me baiser m’indiqua la position. Véronique lui tendit un petit sachet. Un préservatif. Voilà ce qu’elle avait acheté dans la pharmacie. L’homme baissa son cycliste et une bite de taille moyenne, assez épaisse me sauta à la vue. L’homme enfila le préservatif, s’approcha de moi et me coucha sur la table. Je grimaçai quelque peu, car le contact du bois raviva la douleur de mes coups. Il me tira pour amener mes fesses au bord de la table, positionna mes chevilles sur ses épaules, présenta le gland devant mes lèvres et m’enfila d’un seul coup de reins.
    
     Oh, la salope, elle est brûlante, dit-il en commençant à me besogner.
    
    A chaque coup de ...
    ... reins, ses couilles venaient heurter mes fesses et cela décupla mon excitation. Ses va et vient faisaient un clapotis dans ma chatte. Je me sentais tellement bien et en même temps tellement humiliée. Véronique savait ce qu’elle faisait en m’amenant ici et en me donnant à ces hommes. L’homme qui me baisait commença à m’insulter :
    
     Oh la salope ! Sa chatte est brûlante, une vraie fontaine. Ça coule sur mes couilles. Quelle truie ! Elle aime se faire défoncer. Ah, ça vient. Je jouis. Tiens, prend ça, salope !
    
    Quelques coups de reins désordonnés m’apprirent que l’homme jouissait dans ma chatte. Malheureusement, la capote m’empêchait de savourer pleinement l’éjaculation de celui qui me saillait. Lorsqu’il se dégagea, il fut aussitôt remplacé par un autre qui me baisa tout aussi vigoureusement, mais en silence. Au moment où il éjacula, j’eus un formidable orgasme qui me tordit les entrailles. Des mains me retournèrent et me firent me positionner à quatre pattes. L’homme me baisa en levrette, cette fois-ci.
    
    Lorsque tout cela cessa, lorsqu’il n’y eut plus personne à me baiser, j’avais quelque peu perdu la notion du temps. La seule chose dont j’étais sûre, c’est que j’avais été saillie un certain nombre de fois. J’avais également ressentit trois ou quatre orgasmes.
    
    A présent, il ne restait plus que le petit couple près de nous. Celui dont la femme avait commenté mon excitation. Il s’approche de ma maîtresse et l’homme demanda :
    
     Je ne voudrais pas vous déranger, mais ...
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