1. Aurélie 6


    Datte: 30/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Grandpervers, Source: xHamster

    Je me réveillai fort tard le matin suivant et je me précipitai dans la cuisine.ma maîtresse était déjà levée et avait préparé le petit déjeuner.
    
     Bonjour Cybèle, bien dormi ?
    
     Oui maîtresse. Je suis désolée maîtresse, de ne pas m’être occupée du petit déjeuner.
    
     Ne t’inquiète pas pour cela. Je l’ai fait exprès. Tu avais bien besoin de repos après la séance d’hier soir. Après ton petit déjeuner, ce sera le moment d’être fouettée.
    
     Bien maîtresse.
    
    Je terminai de déjeuner, débarrassai la table te attendit les ordres de ma maitresse. Celle-ci m’emmena dans le salon et m’ordonna :
    
     Mets-toi à genoux, penchée en arrière, en appui sur les bras, cuisses bien écartées, tête en arrière. Je reviens tout de suite.
    
    Je pris la position, sachant pertinemment ce qui m’attendait. Ma maîtresse allait me fouetter les seins, le ventre et la chatte. Cela ne faisait aucun doute. A cette idée, je sentis mon sexe mouiller. Une nouvelle fois, je me sentis salope. Que de changements en si peu de temps. En quelques mois, j’étais passée de bourgeoise frigide et hautaine, à salope nymphomane et masochiste. Quelle progression !
    
    Ma maîtresse revint avec sa cravache fétiche. Elle caressa ma peau avec le bout, allant de la pointe des seins à ma chatte. Je me tendis vers le cuir, cherchant un contact plus étroit encore. Ma maîtresse s’en aperçut et me lança :
    
     Tu es vraiment une maso, Cybèle. Tu aimes être fouettée.
    
     Oh oui, maîtresse, fouettez-moi sans pitié. Je suis ...
    ... une salope qui le mérite.
    
     Je ne vais pas te fouetter les seins et la chatte. N’oublie pas que tu vas être annelée mardi.
    
     Oh non, maîtresse, je ne l’oublie pas.
    
    Véronique tourna autour de moi, caressant ma peau du cuir de la cravache, puis sans que je ne m’y attende, claqua le premier coup sur mon ventre. Je ne pus retenir un cri de douleur. Ma maîtresse n’en eut cure et me fouetta à quatre reprises. Je serrai les dents pour retenir mes cris.
    
     Mets-toi à quatre pattes, maintenant, dit ma maîtresse.
    
    Je me mis en position et attendis. Je savais qu’elle aimait me faire attendre, espérer et redouter le premier coup. Une nouvelle fois, la cravache caressa mes fesses, mon dos, s’insinua entre mes cuisses et flatta ma chatte. Je coulais littéralement. Véronique s’en aperçut, car, en retirant la cravache, le bout était humide de ma mouille.
    
     Tu mouilles salope ! me dit-elle en riant.
    
     Oui maîtresse !
    
    Je n’avais pas plutôt répondu que la cravache s’abattit violemment sur mes fesses. Je me cambrai sous la douleur et poussai un gémissement sourd. Un deuxième, puis un autre, un autre encore se suivirent à cadence rapide. Je reçu une dizaine de coups, sur les fesses et le dos. Lorsqu’elle cessa de me frapper, j’avais les cuisses trempées de désir et la chatte brûlante.
    
     Ne bouge pas, je reviens, déclara ma maîtresse.
    
    Durant son absence, je contemplai les marques de coups sur mon ventre. Elle savait y faire et les traits rouges qui marbraient mon ventre ...
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