1. Aurélie 6


    Datte: 30/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Grandpervers, Source: xHamster

    ... n’allaient pas s’en aller de sitôt. Je passai un doigt sur les traits légèrement boursouflés et tressaillis de plaisir. Je n’eus pas le temps de faire autre chose. Du coin de l’œil, je vis Véronique revenir. Elle s’était harnachée d’un gode ceinture de bonne taille. Elle allait me baiser, peut-être même m’enculer, comme elle le faisait habituellement, à la hussarde, sans douceur.
    
     Debout, m’ordonna-t-elle, écarte les cuisses, penche-toi en avant et prend tes chevilles dans tes mains.
    
    La position n’avait rien d’agréable et était peu stable. Mais je ne protestai pas, sachant qu’elle s’en moquait. Je sentis le gland du gode se poser contre ma chatte et d’une poussée, s’enfoncer dans mon vagin. Je faillis basculer vers l’avant et je redressai difficilement la position. Je poussai un grognement de satisfaction. Véronique me saisit aux hanches, enfonçant au passage ses ongles dans ma chair et commença à me besogner à grands coups de reins. Elle me bourrait la chatte violemment et à chaque coup, je sentais le gland cogner contre mon col. Je ne tardai pas à jouir du traitement, mais cela ne la calma pas pour autant et j’eus encore deux orgasmes avant qu’elle ne cesse d me baiser. Je m’écroulai sur le sol lorsqu’elle se retira et lâcha mes hanches. Elle vint devant moi et m’ordonna :
    
     Nettoie-le, salope, enlève ta cyprine de dessus.
    
    Servilement, je m’agenouillai et embouchai la bite de latex. Lorsqu’elle jugea que c’était assez propre, elle me repoussa en arrière et ...
    ... je tombai, cuisses écartées. Elle jeta un regard blasé à ma chatte rouge d’avoir été besognée et quitta la pièce. Je me redressai en m’agenouillant, mains derrière la nuque. Je restai un bon quart d’heure dans cette position, avant qu’elle ne revienne.
    
    Véronique était habillée et je sentis une grosse pointe de déception de ne pas l’avoir fait moi-même.je me gardai bien d’en faire mention, mais, à son sourire, je sus qu’elle avait deviné mes pensées.
    
     Relève-toi et suis-moi.
    
    Elle se rendit dans ma chambre, ouvrit l’armoire avec sa clé, armoire contenant des vêtements à ma taille, et sortit une robe bleue.
    
     Enfile-là, m’ordonna-t-elle.
    
    Elle était parfaitement à ma taille. Toutefois, je la trouvais plutôt courte, car elle ne descendait qu’à environ trois centimètres en dessous de la fourche de mes cuisses. Cela voulait dire que toute position assise, tout mouvement de bras levé, dégagerait aussitôt mon pubis et exhiberait ma chatte et mon cul, cul, je le rappelle, marqué à la cravache. Toutefois, je savais qu’il était inutile d’en faire la remarque à ma maîtresse, car je savais que c’était exactement l’effet qu’elle tenait à avoir. Elle compléta mon habillement par des escarpins mi- hauts, de même couleur, et m’intima l’ordre de la suivre.
    
    Où allions-nous ? Depuis que j’étais devenue son esclave, je n’avais jamais mis le nez dehors. Elle prit les clés de sa voiture et se dirigea vers la porte de l’appartement. Quelques instants plus tard, nous quittions ...
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