Aurélie 6
Datte: 30/01/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Grandpervers, Source: xHamster
... l’immeuble. Elle se dirigea vers la sortie de la ville, et s’arrêta dans une pharmacie ouverte tous les jours, même le dimanche. Lorsqu’elle revint, je ne sus pas ce qu’elle avait acheté, elle n’avait rien dans les mains.
Nous reprîmes la route, et, bientôt nous entrâmes dans le bois de C… Je commençais à voir où Véronique m’emmenait. Elle bifurqua sur une route forestière et s’arrêta sur un parking assez encombré. Il y avait là de nombreux joggers et quelques joggeuses. Certains d’entre eux effectuaient des étirements, d’autres semblaient s’échauffer avant de partir courir.
Viens, suis-moi, me dit-elle en sortant de la voiture.
Je la suivis, ne voyant pas vraiment où elle voulait en venir réellement. Elle se dirigea vers une table, dans un coin retiré du parking et me dit :
Assied-toi sur la table, pieds sur le banc et écarte les cuisses.
Devant mon hésitation, elle éleva la voix.
Qu’est-ce que j’ai dit ? Tu es sourde ? Assise sur la table, cuisses écartées, dépêche-toi !
Vaincue, je montai sur le banc, non sans dévoiler mon intimité à tous les curieux qui s’étaient tournés vers moi, et m’assis sur la table, écartant les cuisses. C’était la première fois que j’étais ainsi exhibée devant des inconnus et je sentis bientôt un trouble m’envahir. Sans même m’en rendre compte, j’écartai plus encore les cuisses, ce que ma maîtresse, elle, s’aperçut. Elle me gratifia d’un sourire et se retourna vers les gens qui commençaient à s’approcher.
Les ...
... regards lubriques des hommes m’excitaient et je sentis ma chatte se liquéfier. Je fus surprise par la présence de femmes parmi les voyeurs. Il y en avait trois, toutes en tenue de jogging, et apparemment plus intéressées par ma plastique que par l’envie d’aller courir. Il y avait également cinq hommes, dont deux au moins étaient les compagnons de joggeuses. L’un des hommes s’approcha de Véronique et demanda :
On peut la toucher ou c’est juste de l’exhibition ?
Qu’en penses-tu Cybèle ?
On peut me toucher, maîtresse, si vous le désirez !
Maîtresse ? remarqua l’homme, elle est soumise ?
Oui, monsieur, je suis soumise à ma maîtresse, répondis-je suite à un regard impérieux de ma maîtresse. Je suis aussi salope et masochiste, monsieur. Vous pouvez user et abuser de moi.
Sans rien ajouter d’autre, l’homme s’avança. Sa main se posa sur ma cheville, pendant que ses yeux ne quittaient pas ma chatte de vue. Il n’eut aucun mal à se rendre compte que j’étais trempée.
Oh, la salope, elle est trempée.
La voix qui venait de s’élever n’était pas celle d’un homme, mais de la petite femme qui se serrait contre son compagnon, fixant avec intérêt mon entrecuisse luisant.
Pendant ce temps, la main de l’homme remonta le long de ma cuisse et ne tarda pas à caresser mon chaton glabre. Il insinua deux doigts dans ma chatte et lança un va et vient qui me fit haleter. J’aurais été bien incapable de dire à quoi il ressemblait. En bonne soumise, j’avais gardé la tête ...