1. L'éducation de Sylvie


    Datte: 27/01/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Clar, Source: Hds

    ... que l’entreprise Rocier avait remporté le marché public concernant l’électricité du chantier de la nouvelle mairie, et que son patron venait signer le contrat dans l’après-midi. Il me chargeait de le recevoir.
    
    A seize heures, Jacques Rocier fit son entrée dans mon bureau et…dans ma vie. C’était un homme de haute taille, musclé, au regard particulier. « Bonjour Monsieur Rocier ». « Ouais, une subalterne de chez subalterne pour me recevoir. En plus, sapée comme l’as de pique. Ils avaient rien d’autre à proposer ? » pour une entrée en matière, c’en était une…. « Monsieur, je ne vous permets pas de me parler sur ce ton. » « Toi, t’es une mal baisée, ça se voit. Si tu veux je peux t’arranger ça. Bon, j’ai pas que ça à faire, je signe quoi ? ».Il ne dit plus un mot et avant de sortir, se retourna et m’adressa un sourire carnassier. « Mais quel con ! quel grossier personnage ». J’en avais les larmes aux yeux.
    
    Deux semaines plus tard, je devais aller visiter le chantier avec le maire adjoint, mais il se fit une sciatique la veille et me demanda d’y aller seule. Je m’attendais à rencontrer le maitre d’œuvre et quelques artisans, mais seul Rocier était présent. « Tiens, voilà la pucelle » Je décidai de ne pas répondre. Alors que nous visitions les locaux techniques, Rocier posa sa main sur mes fesses. Je voulus le repousser, mais il me maintient fermement, m’attirant contre lui. Sa main caressait mes fesses, et malgré moi, je ressentis un frisson me parcourir. J’étais horrifiée ...
    ... et fascinée à la fois. Cette caresse triviale déclenchait un plaisir trouble. Il arrêta sa caresse « J’aime pas les pantalons. La prochaine fois si tu veux que je te baise, mets une jupe. Et ne dis pas que t’as pas aimé, je suis sûr que tu as inondé ta culotte ».
    
    Je me jurai de ne plus croiser son chemin. Et pourtant, quand le maire me demanda de faire le point le lendemain sur l’avancée des travaux avec Jacques Rocier, je me jurais intérieurement de ne pas céder aux caprices de ce rustre. Le lendemain matin, je mis un jean, me ravisai et choisis une jupe ample s’arrêtant au-dessus du genou. Mais je ne céderais pas.
    
    Quand Rocier me vit, il eut un sourire ironique. « Sympa ta jupe. Soulève là que je vois si tu as des dessous qui me plaisent ». « Il n’en est pas question. Je vais raconter vos agissements à monsieur le Maire et vous allez perdre le marché ». Rocier éclata de rire. Il s’avança vers moi et sans que j’esquisse un geste de défense, il retroussa ma jupe sur les reins, m’attira contre lui et insinua ses mains sous ma culotte. Dans le même temps, je sentais une bosse durcir contre mon ventre. Il tira ma culotte vers le bas, caressa ma chatte dégoulinante, se débraguetta et s’enfonça d’un trait en moi en me soulevant comme une brindille. Il me pilonnait sans fioriture, me soulevant et me laissant retomber sur son sexe. Je ne sais combien de temps cela dura. Je jouis une première fois, il ne cessa pas pour autant sa course, et je partis une deuxième fois pendant ...
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