L'éducation de Sylvie
Datte: 27/01/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Clar, Source: Hds
... qu’il éjaculait enfin en moi. Il me reposa au sol. « Bon, la petite crise est passée ? On peut se mettre au travail ? »
Un mois plus tard, je quittais Gilles et m’installais chez Jacques Rocier. Deux mois plus tard, nous nous mariâmes. Tout avait été si vite. Pour la petite bourgeoisie locale, j’étais devenue Madame Rocier, la femme d’un des plus gros entrepreneurs de la région. Et en plus, professant le catéchisme, j’avais atteint un haut degré de respectabilité.
Pourtant, si les gens savaient…… Jacques était un amant insatiable. Il lui arrivait de me prendre deux voire trois fois dans la journée. Un soir, pendant qu’il me faisait l’amour, il me demanda si j’aimerais essayer avec un autre homme. Emportée par l’excitation amoureuse, je lui dis oui. Dès lors, il eut de cesse de me dire que je devrais essayer. Un soir, en discothèque, un homme assis près de nous, ne cessait de me jeter des coups d’œil appuyés. Je n’y avais pas vraiment prêté attention. Jacques m’entraina sur la piste. Une série de slows nous jeta dans les bras l’un de l’autre. Ses mains, caressaient le bas de mon dos et mes fesses. Sans que j’y pris garde, il avait remonté doucement ma jupe, dénudant mes cuisses et mes fesses que masquaient à peine un string.
Au bout du deuxième slow, il prétexta une envie d’aller aux toilettes. L’homme assis précédemment à nos côtés m’enlaça. Il se plaqua à moi. Je sentais son sexe déployé contre mon ventre. Il me murmurait des mots doux à l’oreille. La situation me ...
... troublait, mais je n’osais pas me laisser aller. Je repoussais même ses avances. Un mélange de colère et d’excitation m’habitaient.
Jacques m’amena lentement à la débauche avec la certitude que j’accepterais…ce qui se produisit…. Un soir, il invita Karim, un de ses ouvriers. Un garçon charmant, mignon et bien bâti. Après le repas, je me retrouvai assise sur le canapé entre eux deux. Leurs mains prirent de concert possession de mon corps et sans que je ne rende compte, je me retrouvai nue, embrassée et léchée de toute part. Karim me prit doucement et m’amena au plaisir. Je ne comptai plus les orgasmes. Mes deux amants m’épuisèrent.
Puis Jacques invita d’autres hommes, des femmes, des couples et je devins libertine presque naturellement. J’y prenais du plaisir. Enormément de plaisir. Même si en ville je gardais l’image d’une femme sérieuse et stricte. S’ils savaient……
L’année passée, Jacques rentra un soir excité. Il avait trouvé une clé USB dans le local qu’utilisait Karim. Il l’avait branchée sur son ordinateur et était tombé sur des dossiers photos montrant Paul Guibaud, un notable de la ville parti récemment dans une autre région, et qui fut un de ses bons clients, revisitant le kamasoutra avec diverses partenaires. Il avait fait une copie de la clé et me demanda si je connaissais les heureuses élues. J’y reconnus avec surprise Judith Gaudin, la gentille boulangère de la place de Gaulle. Au vu des photos, elle prenait plaisir à ces joutes avec le beau sexagénaire. ...