La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1055)
Datte: 26/01/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... fois. Sous le coup, je repartais vers l’avant et revint en arrière, recevant un deuxième coup aussi fort sur les fesses. J’ai cru être coupée en deux. Je hurlais de douleur, mais la balançoire continua jusqu’à avoir reçu dix coups terribles. Au onzième balancement, revenant en arrière, je m’attendais à un autre coup, mais… non ! Je ne voyais toujours pas mon tortionnaire. Le balancement ralentissait, je pendais telle une poupée de chiffons…
- C’est pour t’être permise d’arriver en retard, salope !
- Pard…
Le onzième coup encore plus fort que les autres me cueillit par surprise et me fit pousser un hululement de douleur extrême.
- T’es pas autorisée à parler, pouffiasse, dit-il dans un fort accent étranger.
Les chaînes descendirent légèrement me posant sur le sol. La barre fut enlevée et je pensais la séance terminée. Mais les chevilles furent attachées à des anneaux à même le sol ce qui me faisait garder les jambes écartées. Je ne voyais toujours rien de ce qui se passait dans mon dos. De plus, un bandeau se posa sur mes yeux, ce qui mit fin au peu que je voyais. Je restais ainsi près de 20 minutes, sans que rien ...
... ne se passe. J’entendis un bruit de roulettes, et sentis que l’on plaçait quelque chose entre mes jambes. A ce moment, mes chevilles furent détachées et les jambes relevées à hauteur d’épaule, furent attachées à mes poignets. Dans cette pose, je ne touchais plus le sol, suspendue entièrement par les poignets. Je me sentis être relevée assez haut. Je ne comprenais rien. Puis, doucement je redescendais, lentement, très lentement, jusqu’au moment où je sentis quelque chose cogner contre mon ouverture anale. La descente s’arrêta, puis reprit très lentement. Je commençais de m’empaler certainement sur un gode, mais j’avais très mal car il devait être assez gros. Le poids de mon corps faisait le reste mais suspendue par les chaînes l’homme contrôlait la descente, laissant à mon anus le temps de s’ouvrir. Enfin, mon anus céda et je sentis le bout du gode envahir mon rectum. Les chaînes me faisaient descendre à nouveau très lentement et je m’enfonçais lentement mais sûrement sur ce que j’imaginais comme un gode énorme, car plus je m’enfonçais plus je sentais mon cul s’élargir… et plus je me surprenais à mouiller, encore…
(A suivre …)