La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1055)
Datte: 26/01/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... la laisse, me conduisit sur le plateau et à mes côtés, sortit une télécommande qu’il actionna, nous faisant descendre tous les deux. Presque 10 mètres plus bas, le plateau s’arrêta. Visiblement nous étions sous la crypte dans les profondeurs du Château. Le Majordome actionna un interrupteur et la lumière éclaira la pièce qui s’offrait devant nous. Sol de terre battue, aucune commodité, un seau, un broc, rien de plus. Il me fit me mettre contre un mur, toujours à quatre pattes, accrocha à ma cheville gauche, un bracelet de métal fort lourd, relié à une chaîne datant de l’antiquité si j’en jugeais par la taille des maillons. Il me fit me remettre debout et me dit :
- Cette chaîne mesure deux mètres, ces deux mètres vont constituer ton espace de liberté. Tu mangeras ce qu’on te descendra, tu ne verras rien car tu n’auras pas de lumière, mais tu entendras les cris de ceux qui ont osé tenir tête au Maître. Ainsi tu pourras méditer sur beaucoup de choses. Ton tour viendra de sortir, de temps en temps de ton Cachot, pour subir le dressage que tu mérites. Tu ne sortiras d’ici définitivement uniquement que quand tu cèderas à jamais exprimant ainsi ta totale allégeance, dévotion et obéissance absolue à Monsieur le Marquis d’Evans.
A ces mots, il m’asséna plusieurs coups de cravache sur les seins et remonta à la surface, me laissant dans le noir complet du cachot.
- Ah oui, pour tes besoins, tu feras sur place comme les chiennes ! Tu as au fond du Cachot une sorte de caniveau ...
... …
Arrivé au niveau du plancher supérieur, les barreaux refermèrent ma prison me laissant seule, dans le noir, entravée… Je tentais de bouger un peu, à tâtons, la chaîne était lourde, je touchais les murs poisseux mais très vite, je compris l’impossibilité d’aller plus loin. Je m’assis à même le sol et me mis à pleurer, de rage et désespoir.
1er jour de cachot :
Dans la nuit absolue du cachot, les yeux eurent du mal à s’habituer à l’obscurité mais parvinrent néanmoins à s’y adapter …un peu. Effectivement, il n’y avait rien d’autre qu’un seau et un broc d’eau. Rien de plus. Rien de plus à faire également qu’à méditer et à attendre. Dans ces conditions, je repensais aux soirées de gala, à mes amies (s) à mes derniers coups de cul, aux défilés. Je me raccrochais à ces souvenirs pour éviter de devenir folle, m’en voulant terriblement d’être revenue ici dans un monde de fous assurément… J’entendais par moments des bruits de chaînes éloignés, avec des cris mais c’était loin. Je ne pouvais identifier exactement ce qui se passait, seulement l’imaginer. Et ce que j’imaginais me paraissait terrible. Il vaut mieux savoir qu’imaginer, cause de tous les fantasmes, car imaginer conduit à des peurs et les peurs à des effondrements psychologiques. La première journée se passa ainsi, assise à même le sol de terre battue, à ne rien faire d’autre qu’attendre et réfléchir…Et aussi incroyablement que cela puisse paraître, je me surprenais souvent à sentir mon bas-ventre s’humidifier, et ...