La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1055)
Datte: 26/01/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite de l'épisode 1053) -
L’esclave au cachot :
Tandis que je suivais tant bien que mal le Majordome qui tirait sur la laisse, nous traversions des salles vraiment très belles richement décorées, dans lesquelles je voyais des tables avec de gros anneaux, d’autres tables articulées avec des crochets, des chaînes qui pendaient du plafond. Les couloirs se suivaient dans un labyrinthe de portes dérobées, et nous amenant à d’autres salles qui avaient au mur, encore des chaînes, des palans, des croix de St André, sur d’autres murs pendaient des collections de fouets, de cravaches et sur des étagères trônaient des godes et plugs de toutes tailles et longueurs. Nous suivons encore des couloirs, descendions des escaliers en colimaçon étroits et abrupts (pas simple à quatre pattes) la cravache passant et repassant sur mes fesses me rappelait la marche à suivre. Je tentais de suivre Walter, mais ne pus éviter quelques cinglements qui me rappelèrent ma condition car je traînais selon lui. Je serrais les dents pour ne rien dire. Le Majordome dut se dire que cela ne me faisait rien, car le coup suivant fut terriblement plus appuyé.
- Hummm, dis-je en fermant les yeux et tentant de me redresser car j’avais très mal et à la fois j’en étais paradoxalement excitée.
Un autre coup arriva puisque j’avais tenté de me relever même si aussitôt j’avais repris la position. La douleur était ...
... presque intenable, mais je serrais les dents à nouveau, des larmes m’arrivaient… Arrivés tout en bas de plusieurs escaliers dont les derniers étaient plus larges, une série de portes avec des barreaux ressemblant plus à des geôles de prisons qu’à des cachots se succédaient. Nous poursuivions notre avancée, pensant être arrivés. Nous descendîmes à nouveau d’un étage pour arriver dans la crypte du Château et arrivâmes dans une pièce dont immédiatement je perçus l’ambiance lugubre... Les murs de la pièce sentaient, puaient devrais-je dire, la souffrance, la torture peut-être, car de toutes parts, des objets de supplices étaient « exposées » semblant attendre d’être utilisés. Des fouets à nouveau, des chaînes, des menottes, des marteaux, des pinces, tout le nécessaire du parfait sadique. La pièce était immense et le plafond voûté fait de pierres équarries. Alors que nous passions au-dessus de barreaux à même le sol, dont je n’avais aucune signification de l’utilité, nous nous arrêtâmes au-dessus de l’un d’entre eux.
- Voici ta chambre, salope, dit Walter.
Il attacha la laisse à un crochet du mur, actionna quelque chose que je ne vis pas, et les barreaux disparurent laissant une ouverture sombre, un trou dans le sol. Le Majordome actionna autre chose, et j’entendis un bruit de moteur et quelque chose qui grinçait. A un moment donné, le trou noir fut remplacé par un plateau en bois et je compris alors que c’était le moyen d’entrer et sortir du trou. Walter vint me décrocher, reprit ...