La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1055)
Datte: 26/01/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... pourtant il n’y avait pas de quoi être en état d’excitation au vu de ma situation, mais je mouillais souvent et je ne saurai expliquer pourquoi. Serais-je masochiste ?... Par deux fois, j’entendis les barreaux se rétracter et immédiatement la peur m’envahit. Le plateau de bois remonta, et redescendit garni d’un broc d’eau fraîche et de quelques morceaux de pain sec. Rien de plus, je ne vis aucun visage, je peux attester que ce traitement est particulièrement sadique. Le jour suivant, les bruits semblaient plus forts comme si on amenait quelqu’un comme moi, mais qui et où ? Tout s’arrêta cependant et je commençais à demander s’il y avait quelqu’un… pas de réponse mais il me semblait entendre des pleurs assourdis. Je tentais d’appeler, en vain.
- He ho, il y a quelqu’un ?
Pas de réponses, seuls des plaintes. Ces bruits me disais-je étaient-ils réels ou serais-je en train de devenir folle ? Je restais ainsi à méditer, grignoter mes croutes de pain… Mauvaise alimentation, peur, immobilité, tout l’ingrédient pour craquer nerveusement ou faire craquer. Résiste, Isabelle, résiste me dis-je…
2eme jour de cachot :
Je ne savais plus si nous étions le jour ou la nuit, ne voyant pas la lumière. Je ne peux donc dire qu’elle heure il était. Quoiqu’il en soit je fus réveillée en sursaut. J’entendis les barreaux se rétracter, le plateau remonta et redescendit avec un homme. Dans l’obscurité du Cachot, j’arrivais péniblement à le distinguer jusqu’au moment où il actionna la ...
... lumière, constituée d’une simple lampe pendant au bout d’un fil. Mais la lumière me fit l’effet du soleil. L’homme m’était inconnu, fort grand de taille, (2 mètres voire plus). Vêtu simplement d’un pantalon avec un large ceinturon, aux pieds, de grosses chaussures de marche, il était torse nu, et portait sur ses bras velus, beaucoup de tatouages. Son visage semblait imperméable, impassible, le crâne rasé, deux énormes moustaches descendaient de sa lèvre supérieure. Pas un mot de sa part, rien ! Il défit la chaîne, me prit par les cheveux et me poussa vers le plateau. Le plateau remonta avec lui à mes côtés. Il me poussa sans ménagement, vers le centre de la pièce. Je ne bougeais pas, tétanisée pressentant l’éventuelle suite. Toujours sans un mot, j’entendis des bruits de palans, de chaînes qui descendaient, j’eux les poignets entravés fermement, et les chaînes remontèrent me soulevant de terre. Il plaça entre mes chevilles une barre d’écartement, et me voilà me balançant piteusement. Je lui tournais le dos, l’entendant bouger des objets mais quoi ? Puis plus de bruit, un silence de mort s’abattit dans la salle et sur mes épaules. Brusquement, l’homme me balança lourdement vers l’avant, et me voilà aller et venir, au gré de ses poussées comme sur une balançoire.
Puis plus de poussées, je me balançais fortement sur mon élan, et soudain alors que je reculais vers lui, un terrible coup de cravache s’abattit sur mes reins me faisant pousser un hurlement de douleur et surprise à la ...