Introduction délicate.
Datte: 26/01/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
fdanus,
Humour
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... mes deux index joints contre cette porte de service qui s’ouvrit sans aucune difficulté. Mes doigts s’y enfoncèrent comme dans du camembert bien fait.
— Enfoncez- les autttttant qu’il vous est possible !… Remontttttez jusqu’au tréfonds de… Voilà ! Ce n’est pas si difficilllle !
Ce n’était pas si difficile ! Je la ramonais avec force tout en continuant de malaxer ses petites fesses, de sucer/mordiller/lécher son clito. À chaque coup de piston, mon menton s’insérait un peu plus entre ses grandes lèvres démesurément ouvertes, fourbissant l’entrée du vagin. Son souffle s’accélérait. Ses propos n’étaient plus que mots sans suite remplis de tttttttttttt. Son cul s’empalait de plus en plus férocement sur mes doigts. Dans la tourmente j’avais perdu son clito. Mon visage n’était plus qu’un frottoir dévolu à son plaisir. J’étais barbouillé de ses sécrétions.
Soudain, au faîte de son accélération, elle se cabra, pressa puissamment, violemment sa vulve contre mon menton comme si elle voulait qu’il la baise. Elle resta quelques secondes totalement immobile, embrochée sur mes doigts, encastrée dans mon menton. Un silence libératoire remplaça sa logorrhée incohérente. Son corps se décontracta. Sans autre forme de procès, avec une agilité de gymnase, accompagnée par mes mains serviables, elle se laissa glisser jusqu’au sol. Alors que je la tenais encore embrassé, un rien présomptueux je lâchai :
— Alors, t’as aimé ?
Oup’s ! J’avais dû dire un truc qui fallait pas ! Elle me ...
... repoussa brutalement, s’écarta. D’une voix froide, elle me tança :
— Mon jeune ami ! Que vous m’ayez réjoui le corps est une chose ! Cependant, mon mari – qu’il repose en paix - et mes amants, même au plus fort de la passion ne m’ont jamais tutoyée… Même ce général américain, pourtant un rustre, lorsqu’il me sodomisait, ne se le serait pas permis ! Pourtant avec ce que j’avais à me faire pardonner à la Libération, s’il l’avait osé, je n’au… enfin ! Brisons-là ! Je ne suis pas arrivée à mon âge pour qu’un jeune godelureau, aussi charmant soit-il, se le permette !
Devant mon air piteux et ahuri, elle poursuivit :
— Je veux bien vous excuser pour le plaisir que vous m’avez prodigué ! Mettre sur le compte de la jeunesse, cet enthousiasme prolétaire ! Mais de grâce, évitez d’être discourtois ! Et maintenant qui êtes-vous et que faites-vous sur ma propriété ?
Ma propriété ! Ma propriété ! Cette femme qui était devant moi, c’était Marie Angélique de Burnecreuse, Baronne de Saint Vit, Comtesse de La Chaux de Main ! Je venais de faire prendre son pied à m’dame la Comtesse ! Non, c’est pas possible, ce devait être sa fille ! Elle était beaucoup moins jeune que je l’avais pensé, même nettement moins. Ces propos délirants me l’avaient fait comprendre. Mais j’avais devant moi une grande femme, mince, cheveux bruns coupés à la garçonne, pas de seins visibles, pas de hanches – mais ça, je l’avais déjà vu ! Cinquante, cinquante-cinq maximum ! Pas une douairière de quatre-vingts ...