1. Introduction délicate.


    Datte: 26/01/2020, Catégories: fh, fplusag, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral fdanus, Humour Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... cucurbitacées, n’a visité depuis la mort de mon défunt mari. Paix à son âme.
    
    Ouille ! Ouille ! Elle perdait les pédales. Bizarrement, cela me fit retomber sur terre. J’étais venu pour voir M’dame la Comtesse et j’étais en train de faire minette à sa petite-fille, sa gouvernante ou peut-être sa cuisinière ! Si la mère de La Chaux de Main s’amenait, y’allait avoir du sport. Ces pensées parasites me firent perdre un peu le fil. Mon hôtesse du dessus me rappela à mes devoirs en frictionnant fortement son connet poisseux contre mon visage…
    
    — Mon ami ! Vous avez ouvert la voie ! Il ne serait pas séant de me laisser ainsi sur ma faim ! N’ayez point peur d’y mettre votre langue au plus profond ! Faites-moi vibrer ! Enfoncez votre langue jusqu’au tabernacle ! Buvez au calice de ma féminité ! N’ayez crainte, j’ai fait mes ablutions du matin !
    
    Complètement jetée, c’tte bonne femme ! Mais n’empêche ! Continuer de parler comme dans un salon alors que son cul ne tenait plus en place, chapeau ! Ce devait être une parente pauvre de la Comtesse. Elle parlait trop bien pour être une domestique. Je triquais de plus en plus, ma queue se trouvait de plus en plus étranglée dans mon slip. Mais bon, à la guerre comme à la guerre.
    
    Foin de toute timidité, de toute retenue ! Ma langue reprit ses pérégrinations, ma partenaire ses soupirs et ses délires. Je lui bouffais la chatte comme un malade. Un instant, j’abandonnai son intérieur si confortable pour m’occuper de son clitounet d’amour. ...
    ... Petite tige perdue au milieu d’un buisson détrempé ! Lorsque mes lèvres se refermèrent sur son bourgeon, un frisson nerveux parcourut tout son corps.
    
    — Mon Dieu ! Jésus ! Marie ! Joseph ! Et tous les saints du Paradis ! Vous me faitttttes… Oh oui mon ami ! Je défaillllle ! Tétez ce bourgeon d’infamie ! Peu importttte l’enfer ! Je veux bien y brûler ! Mais tétez, tétez ! N’ayez pas peur d’y mettttttttre les dents, je ne suis pas en porcelainnnne !
    
    Je n’écoutai plus trop ses délires. Il fallait que je l’amène au plaisir avant qu’elle ne se casse sa belle gueule d’aristocrate; avant que la Comtesse alertée par le bruit ne se pointe – heureusement, elle n’avait sans doute pas branché son sonotone ; et surtout avant que je ne me vide dans mon futal.
    
    Je continuais de sucer avec application son bourgeon, à l’occasion le mordillais. À chaque mordillement, frissonnement de la dame de plus en plus prononcé jusqu’à devenir secousse. Peur de la voir tomber ! Pour assurer ma prise, je cramponnai ses fesses; dans ce geste mes index appuyèrent contre son anus. Que n’avais-je fait ! Les secousses grimpèrent de plusieurs degrés sur l’échelle de son cul.
    
    — Ne craignnnez point ! Ouvrez cette portttte de vos doigts agiles ! J’ai traversssé une guerre mondiale ! Que dianttttre ! Ne m’épargnez point ! Enfoncez vos doigts ! N’ayez aucune craintttte… Les Allemands sont passés par là ! Et où la Panzzzzer division est passée…
    
    De telles invites ne pouvaient être ignorées ! J’appuyais de ...
«12...4567»