1. Introduction délicate.


    Datte: 26/01/2020, Catégories: fh, fplusag, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral fdanus, Humour Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... désenfourchai mon vélo que j’appuyai contre le mur d’enceinte. Je poussai la porte de service - j’allais quand même pas passer par le grand portail, d’ailleurs j’aurais été en peine car il était toujours fermé à double tour – et pénétrai dans l’antre de la Noblesse (avec un N majuscule). Bon, je vous décrirai pas le parc, ni ne vous donnerai la marque des arbres qui bordaient l’avenue permettant d’accéder au château. Sachez simplement que tout était magnifique.
    
    Le péquenaud servile que j’étais dans ma ford intérieur submergea l’étudiant contestataire. Aussi c’est d’une démarche empruntée, timide que j’enfilai l’allée qui jouxtait le chemin principal. J’étais profondément dans mes pensées lorsque j’entendis un grand cri – féminin apparemment - sur ma droite. Cri suivi du bruit sourd d’un objet lourd qui tombe. Je me précipitai. Au milieu d’une pelouse plus ou moins entretenue, se dressait un grand cerisier chargé de fruits.
    
    A ses pieds, un grand escabeau de bois renversé. Je compris tout de suite ce qui s’était passé. Quelqu’une ramasse des cerises, un geste malencontreux et hop! l’escabeau se fait la malle. Comme il n’y avait personne par terre, la personne qui avait crié devait encore être dans l’arbre. Je m’approchai et levai les yeux.
    
    Spectacle des plus intéressants à un mètre environ au-dessus de ma tête ! C’était bien une femme ! Elle embrassait une grosse branche des bras et des jambes. Ce faisant, sa robe ample et légère était remontée sur son ventre. Le pan ...
    ... arrière pendouillant m’offrait une vision délirante sur sa culotte. Délirante parce que des culottes comme ça j’en avais jamais vu ! Je n’étais pas très calé sur la lingerie féminine – mes seules connaissances venaient de mes virées au B.M.C. (pour les ignares Bordel Militaire de Campagne) – mais en comparaison celles que ma mère achetait chez Madame Isabelle, la mercière du bourg voisin, semblaient modernes.
    
    Imaginez une espèce de bermuda arrivant à mi-cuisses, jambes terminées par un liseré en dentelle de quelques centimètres. Je suis sûr que vous avez déjà vu ça dans des écomusées. Pas vraiment érotique me direz-vous. Certes non, mais cette culotte découvrait des cuisses aux muscles harmonieux. Muscles tendus sous les efforts que devaient faire la femme pour ne pas tomber. Muscles dont la netteté du trait, l’impression de solidité révélaient la sportive. Déjà ces jambes qui disparaissaient sous la rude étoffe blanche avaient de quoi réveiller le cochon qui sommeille en vous.
    
    Mais ce n’était que mise en bouche ! La culotte de la jeune femme – le maintien et l’aspect général de ses cuisses indiquaient sa jeunesse – dans sa chute s’était sans doute accrochée à une quelconque branche ou sous le choc l’antédiluvien sous-vêtement avait-il rendu l’âme. Il en résultait une déchirure longitudinale. Déchirure providentielle qui me permit de constater qu’elle avait la fesse – du moins la gauche – charnue, bien dessinée, que sa toison broussailleuse grisonnait déjà un tant soit ...
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